Économie
L'initiative Monnaie Pleine — Qui doit créer notre argent: Les banques privées ou la banque nationale ?
Par | Le 20/04/2018 | Commentaires (0)
Le « 100 % monnaie » (100% money) ou « monnaie pleine » est une proposition initiale de l'économiste américain Irving Fisher de 1935 qui consiste en un transfert de la création monétaire depuis les banques privées vers la banque centrale, en imposant aux banques commerciales des réserves de 100 % des dépôts monétaires, au contraire du système de réserves fractionnaires. En Suisse, l'Initiative « monnaie pleine » lancée par l'association Modernisation monétaire (MoMo) a obtenu en 2016 plus de 100 000 signatures, ce qui va provoquer une votation nationale sur ce sujet.
Le texte de l'initiative monnaie pleine, ne parle pas de couverture à 100 % de la monnaie scripturale des banques commerciales. Le mécanisme proposé par cette initiative est proche, mais n'est pas le même que 100 % monnaie. Il s'agit plutôt d'un côté de créer la monnaie centrale par extension de bilan sans contrepartie et de l'autre interdire aux banques commerciales d'intégrer dans leur bilan les comptes courants, mais pas les comptes d'épargne. L’Initiative « monnaie pleine » sera soumise au verdict populaire le 10 juin 2018.
Le monde se demande : “l’Amérique est-elle devenue insensée ?”
Par | Le 11/04/2018 | Commentaires (0)
[Benjamin Fulford] — Les dirigeants actuels du monde anglo-saxon agissent d'une manière que l'on ne peut qualifier que d'insensée, en émettant des revendications manifestement fausses et incendiaires, l’une après l'autre, dans une vaine tentative de déclencher la Troisième Guerre Mondiale. Ils le font parce que les dirigeants actuels se battent littéralement pour survivre au fur et à mesure que les rouages de la justice se resserrent inévitablement sur eux.
C'est pourquoi nous avons récemment vu des affirmations hystériques de la Première Ministre du Royaume-Uni, Theresa May, selon lesquelles la Russie aurait utilisé du gaz toxique à l'intérieur du Royaume-Uni, et qui ont été démenties par les experts de son propre gouvernement. C'est aussi la raison pour laquelle le Président des États-Unis, Donald Trump, a été forcé sous le chantage, ou a été trompé comme un idiot, à accuser faussement le gouvernement Syrien d'attaquer une fois de plus ses propres civils avec des armes chimiques.
Le ministre Duclos annonce un nouveau financement fédéral de 400 000 $ pour dynamiser le mouvement pour l'égalité des sexes
Par | Le 13/03/2018 | Commentaires (0)
Le projet favorisera l'avancement de l'égalité des sexes au Québec, et des cheffes de file locales participeront à un réseau national.
QUÉBEC, le 13 mars 2018 /CNW/ - Le gouvernement du Canada est résolu à faire avancer l'égalité entre les sexes et à renforcer l'autonomie des femmes et des filles. En investissant aujourd'hui pour consolider et dynamiser le mouvement des femmes, nous jetons les bases de l'égalité future entre les sexes au Canada.
Au nom de l'honorable Maryam Monsef, ministre de la Condition féminine, l'honorable Jean-Yves Duclos, député de Québec, a annoncé aujourd'hui l'appui financier du gouvernement du Canada à un projet qui fera progresser l'égalité entre les sexes au Québec.
Benjamin Fulford : Fin de jeu pour la Cabale alors que se dessinent à l’horizon les Tribunaux de Nuremberg II
Par | Le 08/03/2018 | Commentaires (0)
Benjamin Fulford : Selon de nombreuses sources, la faction mafieuse Khazariane, qui a tenté de déclencher la troisième guerre mondiale et de tuer 90 % de l'humanité, est maintenant sur le point de disparaître. Le signe le plus clair en est un décret exécutif du 1er mars 2018, intitulé « Amendements au Manuel des cours martiales, États-Unis » et une annexe de 636 pages publiée le le même jour par le Président Américain Donald Trump et le Ministère de la Défense et qui prépare le terrain pour les tribunaux de Nuremberg.
Selon les sources du Pentagone, l'essentiel de ces ordonnances était que tous les civils Américains soient soumis à la justice militaire, et que l'armée puisse engager des experts juridiques non militaires pour assister les tribunaux à venir. La clause suivante de la page 2 à l'annexe 2 présente un intérêt particulier, en ce sens qu'elle décrit comme suit un exercice de la compétence militaire : Une administration gouvernant temporairement la population civile sur son territoire ou une partie de son territoire par l'intermédiaire de ses forces militaires, selon ce que la nécessité l'exige (loi martiale).
Comment peut-on prétendre à la souveraineté du pays tout en soutenant la globalisation promu par l'élite financière ?
Par | Le 06/03/2018 | Commentaires (0)
Les appels au départ de Martine Ouellet à la tête du Bloc québécois se sont multipliés. Après la démission de sept des dix députés — qui sont partis en dénonçant son leadership et la direction dans laquelle elle souhaite mener le parti —, c’était au tour de Gilles Duceppe et d’autres anciens bloquistes de réclamer la démission de la chef. « Un chef qui se voit contesté par 70 % du caucus devrait comprendre le message. Moi, être là, je comprendrais que je n’y ai plus ma place », a déclaré Gilles Duceppe.
Au coeur du débat : l’orientation du Bloc québécois. Le camp de Martine Ouellet milite pour que le parti défende avant tout l’indépendance du Québec à Ottawa. Celui des dissidents prône la tradition, établie sous Gilles Duceppe, d’une défense des intérêts du Québec qui démontrera le bien-fondé de la souveraineté. « Oui, il y a la défense des intérêts du Québec qu’on va poursuivre. Mais il y a aussi la préparation de l’indépendance. Et pour moi, c’était essentiel », affirme Martine Ouellet. Au sujet du discours mettant constamment de l'avant la promotion de l'indépendance du Québec, Martine Ouellet insiste que c'est le mandat qui lui a été confié par les membres du parti.
Les sept députés démissionnaires répètent que le leadership, les orientations et la vision de la chef, centrés uniquement sur l'indépendance, ne servent pas les intérêts du Québec. Mais comment un homme tel que Gilles Duceppe [1] peut-il se prétendre souverainiste, tout en soutenant la mondialisation promue par l'élite financière ? C'est la question que l'on doit se poser.
Airbus reçoit le premier ministre du Québec, Philippe Couillard
Par | Le 06/03/2018 | Commentaires (0)
Première visite de Mr Couillard sur les installations d'Airbus à Toulouse
AIRBUS, TOULOUSE, France, le 6 mars 2018 /CNW/ - Le premier ministre du Québec, Philippe Couillard, a été accueilli pour sa première visite d'Airbus à Toulouse par Tom Enders, chef de la direction d'Airbus.
Cette visite fait partie de la 20e rencontre entre les officiels québécois et français et a pour but de renforcer les relations entre le Québec et la France.
Lutte contre les paradis fiscaux - Une délégation québécoise rencontre le cabinet de la ministre du Revenu national
Par | Le 23/02/2018 | Commentaires (0)
OTTAWA, le 23 févr. 2018 /CNW Telbec/ - Une délégation québécoise menée par le comédien Vincent Graton rencontre aujourd'hui le cabinet de la ministre du Revenu national, Mme Diane Lebouthillier, et des représentants de l'Agence de revenu du Canada (ARC) pour leur faire part de ses vives préoccupations face aux mesures insuffisantes prises par le gouvernement fédéral afin de contrer le recours aux paradis fiscaux. La délégation présentera également aux représentants du cabinet et de l'ARC diverses pistes de solution qui devraient être mises en œuvre.
« Carrément Brunet » sur RMC : « Et si on essayait la monarchie parlementaire pour rassembler le pays? »
Par | Le 24/11/2017 | Commentaires (0)
Dans son émission « Carrément Brunet », diffusée sur RMC lundi 20 novembre, le journaliste Eric Brunet évoque la question d’un éventuel retour de la monarchie parlementaire en France, dans une émission intitulée : « Et si on essayait la monarchie parlementaire pour rassembler le pays? ».
Durant cette émission, Eric Brunet expose les avantages d’une monarchie parlementaire, ses inconvénients, ainsi que le comportement monarchique des présidents de la République. La France conserverait une tradition monarchique indéniable mais souffrirait du syndrome de Louis XVI. Un sondage « Brunetmétrie » a été mis en ligne lors de l’émission, mais la faiblesse des votes ne peut être considéré comme véritablement représentatif. Durant cette émission, un extrait d’une récente intervention de S. A. R. le prince Jean de France fût diffusée, l’Alliance royale fut interviewée, la Nouvelle action royaliste citée, et l’Action Française évoquée.