Politique canadienne
La liberté de la presse et la liberté d'expression sont en chute libre au Canada depuis l'élection de Justin Trudeau en 2015
Par | Le 29/03/2018 | Commentaires (0)
Le Premier ministre Justin Trudeau se présente comme un farouche défenseur d’une « presse libre ». Pourtant, au cours de l’année écoulée, cet engagement est resté lettre morte. Au Canada, malgré la Constitution de 1982 qui garantit la liberté de la presse, la situation des journalistes atteste dans les faits d’une réalité très différente. Par exemple, plusieurs professionnels des médias ont été placés sous surveillance policière au Québec dans le cadre d’une enquête sur d’autres policiers. Un journaliste de Vice a pour sa part dû faire appel d’une décision de justice l’obligeant à remettre à la gendarmerie royale l’intégralité de ses communications avec une de ses sources. Un autre, travaillant lui pour TheIndependent.ca, encourt 10 ans de prison pour avoir couvert des manifestations dénonçant un projet hydroélectrique. Les journalistes de ce pays ne sont protégés par aucune « loi bouclier » (shield law). De plus, sous couvert de sécurité nationale, certaines législations, telles que le controversé projet de loi anti-terroriste C-51, se révèlent nuisibles à la liberté d’expression sur Internet.
Les Libéraux de Justin Trudeau, le NPD et le Bloc Québécois refusent de condamner et poursuivre les djihadistes de retour au Canada
Par | Le 20/03/2018 | Commentaires (0)
[Le Peuple, 5 décembre 2017] — Depuis le mois de novembre 2017, les Libéraux de Justin Trudeau sont critiqués par les Conservateurs d'Andrew Scheer, car ils souhaitent « réintégrer » à la société les djihadistes de retour au Canada, et ce, même si le ministre de la Sécurité publique, Ralph Goodale, reconnaît que les chances de succès sont minces. En ce sens, le député conservateur Pierre Paul-Hus a déposé la motion ci-dessous à la Chambre des communes, le 4 décembre dernier.
La motion fut rejetée avec 209 votes contre et 79 pour. Notamment, les Libéraux de Justin Trudeau ont refusé de l'appuyer, ainsi que le NPD et le Bloc Québécois. Définitivement, la « révolution » ne passera pas par les partis !
Le ministre Duclos annonce un nouveau financement fédéral de 400 000 $ pour dynamiser le mouvement pour l'égalité des sexes
Par | Le 13/03/2018 | Commentaires (0)
Le projet favorisera l'avancement de l'égalité des sexes au Québec, et des cheffes de file locales participeront à un réseau national.
QUÉBEC, le 13 mars 2018 /CNW/ - Le gouvernement du Canada est résolu à faire avancer l'égalité entre les sexes et à renforcer l'autonomie des femmes et des filles. En investissant aujourd'hui pour consolider et dynamiser le mouvement des femmes, nous jetons les bases de l'égalité future entre les sexes au Canada.
Au nom de l'honorable Maryam Monsef, ministre de la Condition féminine, l'honorable Jean-Yves Duclos, député de Québec, a annoncé aujourd'hui l'appui financier du gouvernement du Canada à un projet qui fera progresser l'égalité entre les sexes au Québec.
Le mythe est le Canada : l’Acte de l’Amérique du Nord britannique de 1867 n'est pas une Constitution car il ne constitue rien
Par | Le 02/03/2018 | Commentaires (0)
Nephalem Films : Pour comprendre où nous sommes, nous devons d'abord comprendre comment nous sommes arrivés ici... Des recherches approfondies ont mis au jour des événements clés, qui ont à la fois créé et caché la vérité du mythe qu'est le Canada.
Événement : Du 17e siècle au siècle suivant, l'Angleterre et la France étaient des partenaires tendus représentant le Haut-Canada et le Bas-Canada. La mort du général Wolfe dans la bataille finale sur les plaines d'Abraham en 1759, a assuré la victoire de l'Angleterre, le prix finalement connu sous le nom de « Canada ». Le Traité de Paris a fusionné le Haut-Canada anciennement contrôlé par les Britanniques avec le Bas-Canada français en une entité juridique française - une Corporation Sole, la « province de Québec ». Le processus de fusion de 1759 à 1763 a placé le premier gouverneur général britannique au sein de cette corporation unique qui, en 1787, a fusionné tout le « Canada » permettant à la Grande-Bretagne de gouverner ses colonies connues sous le nom de « province du Canada ». Nouveau-Brunswick et Nouvelle-Écosse.
Pendant 80 ans, de 1787 à 1867, les Britanniques ont placé de nombreux gouverneurs généraux dans la Corporation Sole. Émettant des lettres patentes, la monarchie britannique proclama ainsi que les gouverneurs généraux détenaient le « pouvoir » de créer et de contrôler le gouvernement du Canada, en tant que colonie britannique.
Réaction au budget fédéral : Québecor déplore l'inaction et la duplicité du fédéral en matière d'équité fiscale
Par | Le 27/02/2018 | Commentaires (0)
MONTRÉAL, le 27 févr. 2018 /CNW Telbec/ - Face au budget présenté aujourd'hui par le ministre des Finances, Bill Morneau, Québecor déplore l'inaction du gouvernement fédéral en matière d'équité fiscale : « Malgré qu'il ait été interpelé par l'ensemble des acteurs socioéconomiques et culturels du Québec, le gouvernement a une fois de plus choisi de tourner le dos aux entreprises d'ici, pour faire les beaux yeux aux géants étrangers du Web », a souligné Pierre Karl Péladeau, président et chef de la direction de Québecor.
Traitement des peuples autochtones dans le système de justice canadien : l'APNQL appuie les demandes pour une Commission royale
Par | Le 27/02/2018 | Commentaires (0)
WENDAKE, QC, le 27 févr. 2018 /CNW Telbec/ - L'Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador (APNQL) se dit solidaire des Premières Nations du mouvement demandant une réforme du système de justice canadien qui traite d'une façon inacceptable les peuples autochtones.
Le gouvernement de l'État du Pendjab attribue à Justin Trudeau des propos sur le souverainisme québécois et les dangers de la violence
Par | Le 23/02/2018 | Commentaires (0)
Déjà qualifié de « désastre », le voyage en Inde du premier ministre Justin Trudeau a connu un autre épisode dramatique. Jaspal Atwal, un extrémiste sikh, avait été invité à un dîner avec le premier ministre lors d'un événement officiel qui doit se dérouler jeudi, à Delhi. L'invitation a toutefois été annulée quand l'entourage du premier ministre a été mis au courant des antécédents de M. Atwal.
Malgré tout, ce dernier a eu le temps de participer à un autre événement organisé par l'entourage de M. Trudeau. CBC News a mis la main sur une photographie qui montre l'épouse du premier ministre, Sophie Grégoire, en compagnie de M. Atwal lors d'un événement culturel à Mumbai, le 20 février dernier.
Histoire du Canada dans le Nouvel ordre mondial de 1867 à 1993
Par | Le 28/12/2017 | Commentaires (0)
Eric Granger vous montre dans cette émission comment le Canada est, dès sa création, au service de l'Empire britannique maintenant appelé le « Nouvel ordre mondial ». Voyez qui sont les hommes, les institutions et les groupes secrets qui ont façonné le cours de l'histoire canadienne. Voyez aussi comment Mackenzie King est le premier politicien canadien à avoir ouvertement fait la promotion du « Nouvel ordre mondial » lors de son long règne comme premier ministre du Canada.
Pearson et Trudeau ont été, tour à tour, recrutés et formés par une élite mondialiste qui fomente la création d’un gouvernement mondial depuis des générations. Ces deux protagonistes du Nouvel ordre mondial ont tous les deux eu une éducation mondialiste soit à Oxford, à Harvard ou à la London School of Economics, et ont fait progresser de façon politique le calendrier de l’establishment international.