crédit
La grande dictature BIG BROTHER est à nos portes — La Chine met en place un système de notation de ses citoyens pour 2020
Par | Le 16/04/2018 | Commentaires (0)
Le Système de crédit social est un projet du gouvernement chinois visant à mettre en place d'ici 2020 un système national de réputation des citoyens. Chacun d'entre eux se voit attribuer une note, dite « crédit social », fondée sur les données dont dispose le gouvernement à propos de leur statut économique et social. Le système repose sur un outil de surveillance de masse et utilise les technologies d'analyse du big data. Il est également utilisé pour noter les entreprises opérant sur le marché chinois.
La première mention connue du projet remonte à la publication du rapport State Council Notice concerning Issuance of the Planning Outline for the Construction of a Social Credit System (2014–2020) par le Conseil des affaires de l'État de la République Populaire de Chine le 14 juin 2014. Rogier Creemers, post-doctorant et chercheur au Programme for Comparative Media Law and Policy de l'Université d'Oxford, publie alors une traduction du document.
Le Crédit Social en tant que solution économique au sein d'un Québec souverain
Par | Le 02/06/2017 | Dans Économie | Commentaires (0)
Contrairement à une idée trop répandue au Canada, le Crédit Social n'est nullement un parti politique. Le Crédit Social est une doctrine, un ensemble de principes énoncés pour la première fois par le major et ingénieur Clifford Hugh Douglas, en 1918.
La mise en application de ces principes ferait l'organisme économique et social atteindre efficacement sa fin propre, qui est le service des besoins humains.
Le Crédit Social ne créerait ni les biens ni les besoins, mais il éliminerait tout obstacle artificiel entre les deux, entre la production et la consommation, entre le blé dans les silos et le pain sur la table. L'obstacle aujourd'hui, au moins dans les pays évolués, est purement d'ordre financier — un obstacle d'argent. Or, le système financier n'émane ni de Dieu ni de la nature. Établi par des hommes, il peut être ajusté pour servir les hommes et non plus pour leur créer des difficultés.
Publié par Louis Even en janvier 1939. « Qui sont les vrais Maîtres du Monde? » [1/2]
Par | Le 04/05/2017 | Dans Économie | Commentaires (0)
[Louis Even, janvier 1939] — Le système bancaire actuel est pur banditisme, quiconque s’est donné la peine d’étudier la question (la création de crédit-monnaie-dette par les banques et le contrôle absolu de l’intermédiaire d’échange par les banques), n’en peut douter. Mais c’est un banditisme légalisé c’est-à-dire qu’en conduisant ce racket au profit d’une petite clique d’individus sur le dos du public, les banques restent dans les limites de leur charte, c’est la « patente » accordée par le gouvernement souverain à une machine qui saigne et tue l’humanité.
Dès les premiers siècles de notre ère, on trouve des parasites, tenant des comptoirs pour prêter l’argent et, par l’usure, mettre le grappin sur toute la circulation monétaire des pays où ils opèrent. Ils ne s’installent pas n’importe où.
On les chercherait en vain dans les pays où il n’y a rien à rafler, pas plus que vous ne voyez le banquier accompagner le premier groupe de colons qui s’enfonce dans les bois du nord québécois. Par exemple, lorsque l’empire romain est prospère; ils reçoivent les hommages et le fruit du travail des producteurs des plaines de Lombardie. L’Angleterre sort plus tard de la barbarie et ses marins rapportent de leurs expéditions les richesses du monde. Nos prêteurs d’argent ont le flair juste et ils colonisent à leur façon une rue de Londres restée célèbre dans le domaine de la finance internationale sous le nom de Rue des Lombards (Lombard Street).