Politique québécoise
Le Barreau demande aux tribunaux d'invalider les lois ou les règlements du Québec au motif qu'ils sont inconstitutionnels
Par | Le 18/04/2018 | Commentaires (0)
Le Barreau du Québec et celui de Montréal demandent aux tribunaux d'invalider les lois ou les règlements adoptés par le gouvernement du Québec et l'Assemblée nationale au motif qu'ils sont inconstitutionnels.
Dans une procédure déposée au palais de justice de Montréal vendredi, l'ordre professionnel des avocats et sa branche montréalaise affirment que le processus d'adoption des lois par le législateur québécois n'est pas conforme à la Constitution canadienne.
L'adoption des textes législatifs devrait se faire simultanément en français et en anglais, fait valoir la procédure d'une vingtaine de pages signifiée par le cabinet Jeansonne Avocats inc. au président de l'Assemblée nationale, Jacques Chagnon, et à la procureure générale du Québec, Stéphanie Vallée.
Le Canada tire sur sa population — Le 1er avril 1918 — Émeute à Québec contre la conscription : résistance politique ou culturelle ?
Par | Le 09/04/2018 | Commentaires (0)
L'émeute de Québec de 1918 s'est déroulée à Québec (Canada) dans le contexte de la crise de la conscription. Dès le début de la Première Guerre mondiale, la population du Québec est inquiète, car elle craint que le gouvernement fédéral finisse par imposer la conscription quand il n'y aura plus de volontaires. En 1915, Ottawa commence d'ailleurs une campagne discrète afin de rendre la conscription sympathique aux Québécois, car le recrutement de volontaires commence à s'essouffler.
En 1916 au Québec, les premières échauffourées ont lieu entre les recruteurs et la population à Québec. Celle-ci accuse le gouvernement d'angliciser l'armée et de favoriser les officiers canadiens-anglais. Au printemps 1917, lors de la conférence impériale de Londres, le Premier ministre Borden subit de lourdes pressions des Britanniques pour imposer la conscription. Le 29 mai, il dépose à la Chambre des communes du Canada le projet de loi, qui est approuvé le 24 juillet par 102 voix contre 44.
La ronde des souverainistes - Serment d'allégeance des péquistes porté envers la couronne d'Angleterre
Par | Le 30/03/2018 | Commentaires (0)
Source : Indigo Sun — Assemblée Nationale du Québec - Haute Trahison perpétrée contre le peuple par les Péquistes soi-disant souverainistes.
Ne vous demandez plus chers indépendantistes convaincus de votre cause, pourquoi vous n'avez toujours pas de pays 39 ans plus tard malgré tous les efforts déployés, les espoirs entretenus, les larmes versées par déception et par dépit, et les centaines de millions dépensés inutilement.
Le serment d'allégeance d'un serviteur de l'État est un geste politique sérieux pouvant avoir des conséquences très graves pour celui qui le trahi. Au Canada la peine pour haute trahison est de 10 ans d'emprisonnement.
La liberté de la presse et la liberté d'expression sont en chute libre au Canada depuis l'élection de Justin Trudeau en 2015
Par | Le 29/03/2018 | Commentaires (0)
Le Premier ministre Justin Trudeau se présente comme un farouche défenseur d’une « presse libre ». Pourtant, au cours de l’année écoulée, cet engagement est resté lettre morte. Au Canada, malgré la Constitution de 1982 qui garantit la liberté de la presse, la situation des journalistes atteste dans les faits d’une réalité très différente. Par exemple, plusieurs professionnels des médias ont été placés sous surveillance policière au Québec dans le cadre d’une enquête sur d’autres policiers. Un journaliste de Vice a pour sa part dû faire appel d’une décision de justice l’obligeant à remettre à la gendarmerie royale l’intégralité de ses communications avec une de ses sources. Un autre, travaillant lui pour TheIndependent.ca, encourt 10 ans de prison pour avoir couvert des manifestations dénonçant un projet hydroélectrique. Les journalistes de ce pays ne sont protégés par aucune « loi bouclier » (shield law). De plus, sous couvert de sécurité nationale, certaines législations, telles que le controversé projet de loi anti-terroriste C-51, se révèlent nuisibles à la liberté d’expression sur Internet.
Le Mouvement républicain du Québec joint ses efforts au parti politique Stram Kurs fondé par Rasmus Paludan, au Danemark
Par | Le 22/03/2018 | Commentaires (0)
Nous sommes très heureux de vous annoncer que le Mouvement républicain du Québec joint désormais ses efforts au parti politique Stram Kurs, fondé par Rasmus Paludan, au Danemark. Stram Kurs est un parti nouvellement fondé par l'avocat Rasmus Paludan en Juillet 2017. Le parti veut un meilleur contrôle des réfugiés au Danemark, et il pointera toutes les personnes non occidentales du Danemark, à moins qu'ils soient des réfugiés de l'un des voisins du Danemark. Stram Kurs a publié un court programme politique qui traite uniquement de sa politique étrangère.
Le parti a l'intention de se s'installer au parlement. À cette fin, les membres ont commencé peu après la fondation du parti à recueillir les quelque 20 000 signatures électorales requises. Début 2017, Rasmus Paludan a lancé une chaîne Youtube appelée « Freedom Voice », sur laquelle il met en ligne de courts clips vidéo de lui-même qui tente de provoquer des activistes de gauche, ainsi que des interviews de politiciens de renom. Paludan était auparavant membre de New Citizenship, où il figurait sur la liste des candidats du KV17.
Le fondateur du MRQ, Guy Boulianne, obtient une entrevue dans le magazine en ligne Télévision Presse, en Mauritanie
Par | Le 20/03/2018 | Commentaires (0)
[Télévision Presse, Mauritanie] — Le fondateur du Mouvement républicain du Québec, Guy Boulianne, a obtenu une entrevue dans l'important magazine en ligne Télévision Presse, en Mauritanie (Nord-Ouest de l’Afrique). La Mauritanie est membre de l'Assemblée parlementaire de la francophonie de même que de l'Organisation internationale de la francophonie. Les régions mauritaniennes de Dakhlet Nouadhibou, Gorgol et de l'Inchiri sont membre de l'Association internationale des régions francophones. L'entrevue est dirigée par le journaliste et propriétaire du magazine, Moussa N'diaye.
Guy Boulianne est né le 13 décembre 1962 à Montréal au Québec. Il est un écrivain, éditeur et promoteur culturel québécois. Aussi, fondateur des Éditions Dédicaces qui publient des auteurs originaires de plusieurs pays, habitant sur tous les continents. Au mois de mars 2017, il fonde le Mouvement républicain du Québec, une organisation ayant pour objectif principal de former un consensus politique global pour faire de la province de Québec un pays souverain et florissant.
M. Moussa N'diaye écrivait à Guy Boulianne : « En principe, une fois que vous êtes mis en ligne, tous les Mauritaniens, les hautes autorités du pays et autres vont vous lire et vous découvrir ». L'Interview est un genre journalistique pour faire connaître l’expérience, le point de vue d’un personnage connu ou expert dans un domaine. C’est dans ce cadre que Télévision Presse (Mauritanie) reçoit M. Guy Boulianne du Mouvement républicain du Québec. Vous êtes de ce Mouvement.
[VIDÉO] Goy George veut déposer une plainte collective contre Carlos Leitao accusé de faire de la « discrimination haineuse »
Par | Le 20/03/2018 | Commentaires (0)
[Pascal Bergeron, Le Peuple, 20 mars 2018] — Un citoyen très actif sur les réseaux sociaux, George Tremblay (Goy George), a publié une vidéo Facebook dans laquelle il est revenu sur les propos du ministre provincial des Finances, Carlos Leitao. Rappelons que ce dernier avait affirmé que la Coalition Avenir Québec (CAQ) proposait un « nationalisme ethnique » aux électeurs. « Je n’ai pas peur des mots. C’est ça qui est ça. Ils considèrent que la majorité française est attaquée par tous ces étrangers », avait-il renchéri.
M. Tremblay a annoncé qu'il entreprenait une plainte collective contre M. Leitao à la Commission canadienne des droits de la personne « pour discrimination et haine envers l'origine nationale et ethnique ». Il a créé une page Facebook afin de mobiliser les Québécois sur le sujet et il les invite à la partager massivement. « Dorénavant, ceux qui cherchent les Québécois vont les trouver », a-t-il conclu. Voici la page Facebook en question : www.facebook.com/PLAINTE.LEITAO.
Comment peut-on prétendre à la souveraineté du pays tout en soutenant la globalisation promu par l'élite financière ?
Par | Le 06/03/2018 | Commentaires (0)
Les appels au départ de Martine Ouellet à la tête du Bloc québécois se sont multipliés. Après la démission de sept des dix députés — qui sont partis en dénonçant son leadership et la direction dans laquelle elle souhaite mener le parti —, c’était au tour de Gilles Duceppe et d’autres anciens bloquistes de réclamer la démission de la chef. « Un chef qui se voit contesté par 70 % du caucus devrait comprendre le message. Moi, être là, je comprendrais que je n’y ai plus ma place », a déclaré Gilles Duceppe.
Au coeur du débat : l’orientation du Bloc québécois. Le camp de Martine Ouellet milite pour que le parti défende avant tout l’indépendance du Québec à Ottawa. Celui des dissidents prône la tradition, établie sous Gilles Duceppe, d’une défense des intérêts du Québec qui démontrera le bien-fondé de la souveraineté. « Oui, il y a la défense des intérêts du Québec qu’on va poursuivre. Mais il y a aussi la préparation de l’indépendance. Et pour moi, c’était essentiel », affirme Martine Ouellet. Au sujet du discours mettant constamment de l'avant la promotion de l'indépendance du Québec, Martine Ouellet insiste que c'est le mandat qui lui a été confié par les membres du parti.
Les sept députés démissionnaires répètent que le leadership, les orientations et la vision de la chef, centrés uniquement sur l'indépendance, ne servent pas les intérêts du Québec. Mais comment un homme tel que Gilles Duceppe [1] peut-il se prétendre souverainiste, tout en soutenant la mondialisation promue par l'élite financière ? C'est la question que l'on doit se poser.