Démocratie
Les limites de la démocratie directe : depuis quelques années, ce système a produit des résultats de plus en plus controversés
Par | Le 24/04/2018 | Commentaires (0)
La particularité de la démocratie suisse est que le peuple garde en permanence un contrôle sur ses élus, car la Suisse est une démocratie qui peut être qualifiée de semi-directe, dans le sens où elle a des éléments d'une démocratie représentative (élection des membres des parlements ainsi que des exécutifs cantonaux) et d’une démocratie directe. En effet, en Suisse, le corps électoral dispose de deux instruments qui lui permettent d’agir sur un acte décidé par l’État : il s’agit du référendum, qui peut être facultatif ou obligatoire, et de l'initiative populaire qui est le droit d'une fraction du corps électoral de déclencher une procédure permettant l’adoption, la révision, ou l’abrogation d'une disposition constitutionnelle.
Le référendum facultatif permet de remettre en cause une loi votée par l’Assemblée fédérale. Il est facultatif car il nécessite la récolte de 50 000 signatures en l’espace de 100 jours pour qu’il aboutisse à une consultation populaire. Si tel n’est pas le cas, la loi est considérée comme adoptée. Lors de la votation, seule la majorité de la population est prise en compte. Le référendum obligatoire impose, comme son nom l’indique, automatiquement une consultation populaire dans les cas prévus par la constitution fédérale. Il implique la double majorité de la population et des cantons.
Monseigneur le comte de Paris: Nous sommes en guerre. Vous ne pouvez pas l’ignorer
Par | Le 24/04/2018 | Commentaires (0)
[Monseigneur le comte de Paris, de jure Henri VII de France] — Depuis presque quarante ans la France subit une invasion rampante sous couvert de regroupement familial ou de « droit au sol » . Actuellement le mondialisme exige de nos démocraties, devenues par ce fait dictatoriales, que nous acceptions le grand remplacement. Ainsi l’invasion devient une réalité extrêmement dangereuse, mortifère pour la France, mais également pour l’Europe.
Pour tenter de comprendre comment nous sommes parvenus à ce stade, il est nécessaire d’avoir une vue stratégique globale des tensions et des appétits des puissants de ce monde. De même il est intéressant de prendre conscience que l’économie mondiale a construit sa force sur les énergies fossiles: le charbon et le pétrole. Quant à l’énergie atomique elle n’en est, peut-être, qu’à ses débuts.
Pourquoi la corruption institutionnalisée et le saccage organisé au Québec ont abouti à un régime de démocratie totalitaire
Par | Le 04/07/2017 | Dans Économie | Commentaires (0)
Allocution de Jean-Louis Pérez-Martel lors du colloque du Mouvement républicain du Québec. Samedi le 17 juin 2017 — Afin de bien saisir le commencement de la corruption institutionnalisée au Québec, il faut retenir deux événements ayant marqué cet état d’infractions par ceux qui trafiquent de leur autorité ou de ceux qui cherchent à les corrompre. Ces deux événements sont le vol du Référendum de 1995 et l’« exécution parlementaire » du Patriote Yves Michaud [surnommé le « Robin des banques » d'après ses actions comme président fondateur du Mouvement d'éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC)] ayant eu lieu le 14 décembre 2000 par la motion de blâme adoptée à l’unanimité et sans débat par l’Assemblée nationale du Québec. [1]
Deux des principaux imposteurs de la politique Lucien Bouchard [2] et Jean Charest, (ex-ministres du Parti Conservateur du Canada, des mercenaires politiques et transfuges) [3] vont entrer en connivence pour que le deuxième référendum sur l’indépendance du Québec de 1995 soit un échec pour le camp du OUI. Concernant l’« assassinat » civico-politique d’Yves Michaud (il voulait briguer l'investiture du Parti Québécois dans la circonscription de Mercier), alors ce sont ces deux mêmes mercenaires de la politique qui vont être les grands exécuteurs.
Le peuple québécois est victime d’un racisme systémique promu par les lobbies
Par | Le 24/06/2017 | Dans Événements | Commentaires (0)
Cet article fait suite à ce que nous avons publié sur le site internet du Mouvement républicain du Québec, le 9 mai 2017. Nous nous posions alors cette question : "Il y a un mystère qui devra bientôt et rapidement être résolu. Tente-t-on dans les hautes instances gouvernementales de nous dissimuler un plan machiavélique visant à détruire l’identité québécoise, contribuant ainsi à la disparition et à l’extinction de notre nation francophone ?".
Il est très clair que le foyer des mouvements anarcho-communistes d'extrême-gauche (ou plutôt d'extrême-droite) prend sa source au sein des institutions d'enseignement telles que l'Université Concordia, l'Université du Québec et le Collège de Maisonneuve. Nous parlons ici de l’Association facultaire étudiante des sciences humaines de l’UQAM (AFESH), de la Société Générale des Étudiantes et Étudiants du Collège de Maisonneuve (SOGÉÉCOM), et du Groupe de recherche d’intérêt public du Québec (GRIP) à Concordia. Par leurs écrits et leurs actions répréhensibles, ces groupuscules extrémistes, — à l'ombre des associations étudiantes —, incitent à la haine d'un groupe identifiable, composé d'individus qui ne souhaitent que protéger leurs acquis et leur identité en tant que peuple et en tant que nation.
L’AFESH est le genre d'organisation extrémiste de gauche qui incite à la haine du blanc - en particulier du blanc québécois - à laquelle le gouvernement tend l'oreille pour mettre en place sa commission provinciale sur le racisme systémique des québécois.