Pérez-Martel
Colloque : Rassemblement pour le bien commun et l’intérêt supérieur du Québec
Par | Le 16/07/2017 | Dans Événements | Commentaires (0)
Le Mouvement républicain du Québec a organisé un premier colloque samedi le 17 juin 2017 à Saint-Lazare, près de Montréal. Nous avons reçu dix personnalités issues de différents horizons : André Pitre (producteur et commentateur socio-politique), Jean-Louis Pérez-Martel (ingénieur en contrôle de qualité, secteur aéronautique et conférencier), Alexandre Cormier-Denis (président de Horizon Québec Actuel), Stéphane Blais (fondateur et vice-président du Mouvement intégrité Québec), Jean-Jacques Nantel (auteur et géopoliticien), Me Claude Laferrière (double médaillé du Gouverneur général du Canada), Daniel St-Hilaire (entraîneur olympique, ex-candidat du Bloc québécois), Gilles Noël (chef du Parti unité nationale) et Richard Le Hir (avocat, auteur et homme politique).
Pourquoi la corruption institutionnalisée et le saccage organisé au Québec ont abouti à un régime de démocratie totalitaire
Par | Le 04/07/2017 | Dans Économie | Commentaires (0)
Allocution de Jean-Louis Pérez-Martel lors du colloque du Mouvement républicain du Québec. Samedi le 17 juin 2017 — Afin de bien saisir le commencement de la corruption institutionnalisée au Québec, il faut retenir deux événements ayant marqué cet état d’infractions par ceux qui trafiquent de leur autorité ou de ceux qui cherchent à les corrompre. Ces deux événements sont le vol du Référendum de 1995 et l’« exécution parlementaire » du Patriote Yves Michaud [surnommé le « Robin des banques » d'après ses actions comme président fondateur du Mouvement d'éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC)] ayant eu lieu le 14 décembre 2000 par la motion de blâme adoptée à l’unanimité et sans débat par l’Assemblée nationale du Québec. [1]
Deux des principaux imposteurs de la politique Lucien Bouchard [2] et Jean Charest, (ex-ministres du Parti Conservateur du Canada, des mercenaires politiques et transfuges) [3] vont entrer en connivence pour que le deuxième référendum sur l’indépendance du Québec de 1995 soit un échec pour le camp du OUI. Concernant l’« assassinat » civico-politique d’Yves Michaud (il voulait briguer l'investiture du Parti Québécois dans la circonscription de Mercier), alors ce sont ces deux mêmes mercenaires de la politique qui vont être les grands exécuteurs.