racistes
Le fondateur du MRQ, Guy Boulianne, obtient une entrevue dans le magazine en ligne Télévision Presse, en Mauritanie
Par | Le 20/03/2018 | Commentaires (0)
[Télévision Presse, Mauritanie] — Le fondateur du Mouvement républicain du Québec, Guy Boulianne, a obtenu une entrevue dans l'important magazine en ligne Télévision Presse, en Mauritanie (Nord-Ouest de l’Afrique). La Mauritanie est membre de l'Assemblée parlementaire de la francophonie de même que de l'Organisation internationale de la francophonie. Les régions mauritaniennes de Dakhlet Nouadhibou, Gorgol et de l'Inchiri sont membre de l'Association internationale des régions francophones. L'entrevue est dirigée par le journaliste et propriétaire du magazine, Moussa N'diaye.
Guy Boulianne est né le 13 décembre 1962 à Montréal au Québec. Il est un écrivain, éditeur et promoteur culturel québécois. Aussi, fondateur des Éditions Dédicaces qui publient des auteurs originaires de plusieurs pays, habitant sur tous les continents. Au mois de mars 2017, il fonde le Mouvement républicain du Québec, une organisation ayant pour objectif principal de former un consensus politique global pour faire de la province de Québec un pays souverain et florissant.
M. Moussa N'diaye écrivait à Guy Boulianne : « En principe, une fois que vous êtes mis en ligne, tous les Mauritaniens, les hautes autorités du pays et autres vont vous lire et vous découvrir ». L'Interview est un genre journalistique pour faire connaître l’expérience, le point de vue d’un personnage connu ou expert dans un domaine. C’est dans ce cadre que Télévision Presse (Mauritanie) reçoit M. Guy Boulianne du Mouvement républicain du Québec. Vous êtes de ce Mouvement.
La population québécoise est victime d'un racisme systémique promu par les lobbies
Par | Le 09/05/2017 | Dans Conspiration | Commentaires (0)
Il y a un mystère qui devra bientôt et rapidement être résolu. Tente-t-on dans les hautes instances gouvernementales de nous dissimuler un plan machiavélique visant à détruire l'identité québécoise, contribuant ainsi à la disparition et à l'extinction de notre nation francophone ?
Depuis le mois de mars, à trois reprises, une institution ou un organisme relevant de l’État a retiré le fleurdelisé pour une raison de gestion comptable. On se souvient du tollé provoqué par l’annonce de la SAQ, alors que la Société d’État avait décidé de retirer le drapeau de la devanture de ses succursales car l’entretien coûtait, soutenait-elle à l’époque, trop cher.
(Depuis, la SAQ s’est engagée à continuer de déployer le fleurdelisé sur ses magasins. "La SAQ comprend la sensibilité des Québécois à cet égard et l’importance qu’ils accordent à ce que le drapeau soit bien visible sur les magasins de leur société d’État.").
À peine quelques semaines plus tard, un citoyen avait remarqué que le drapeau du Québec brillait par son absence au premier endroit où l’on s’attend de le voir flotter : au sommet de la tour centrale de l’Assemblée nationale. Cette fois-ci, le mécanisme du mât était brisé et le gouvernement n’a pas jugé bon de le réparer de manière diligente. Le 6 mai dernier, le Musée national des beaux-arts du Québec annonçait à son tour que le fleurdelisé ne flottera désormais plus au sommet de son pavillon principal pour des raisons semblables.