À propos de Gilles Noël
Né à Ville Saint-Laurent en 1950, M. Gilles Noël, père de trois filles, a gradué de l’école polytechnique de Montréal en 1972. Il a enseigné la physique dans le réseau collégial durant 36 ans. À la retraite de l’enseignement depuis l’année 2011, il travaille pour la firme Solution DAQ Inc. comme directeur de production dans le secteur de l’acquisition de données, des conditionneurs de signaux et de la programmation des systèmes avec LabVIEW. M. Gilles Noël est Chef du Parti unité nationale.
Le Parti unité nationale préconise l'équilibre budgétaire des finances publiques en tout temps; la création de la Banque du Québec pour un monnaie provinciale doublée des monnaies régionales pour inciter les régions à substituer les biens importés par des produits fabriqués localement; en démocratie l'utilisation des RIP (Référendum d'Initiative Populaire) pour donner un pouvoir véritable au peuple; de combattre les abus comme le fait que les fonctionnaires municipaux gagnent 38% de plus que les fonctionnaires provinciaux.
Le Parti unité nationale propose aussi de remplacer l'État-providence par l'État-subsidiaire. Le site internet du parti réside à www.partiun.ca.
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"L'incapacité de défendre la démocratie laisse le champ libre au totalitarisme"
Au moment où j’écris ce résumé, en ce 15 mars 2017, un vent de peur et de rectitude politique souffle sur la Belle Province. Pourtant je me souviens de l’époque des René Lévesque, Lucien Bouchard, Daniel Johnson «père» avec son slogan « égalité ou indépendance » et je me désole de l’absence de leadership de nos dirigeants actuels.
Le premier exemple qui me vient en tête est leur incapacité de défendre la démocratie en laissant le champ libre au totalitarisme. On sait qu’à la mi-février 2017, l’AFESH (Association Facultaire Étudiante des Sciences Humaines) de l’UQAM a interdit la présence du drapeau du Québec à l’UQAM parce que, selon eux, c’est un symbole identitaire raciste. Un reportage de Radio-Canada du 13 février 2017 nous informe que l’AFESH est contrôlée par la SDHPP (Solidarité pour les Droits Humains des Palestiniens et Palestiniennes). L’AFESH est bel et bien une minorité d’une cinquantaine de personnes qui décident du sort des 43 000 étudiant(e)s de l’UQAM. En mars 2017, des cours sur le nationalisme québécois sont annulés, des journalistes sont expulsés et intimidés à cause des menaces de l’AFESH. N’est-ce pas les mêmes tactiques qui sont employées par les fanatiques minoritaires dans leur pays pour faire taire ceux et celles qui ne partagent pas la même idéologie. Est-ce normal que la SDHPP, une association étrangère puisse répandre la haine du drapeau national. Pire encore, est-ce normal que la direction de l’UQAM et le gouvernement du Québec tolère cette manifestation flagrante de racisme à l’égard du drapeau du Québec.
Ce colloque sur l’avenir et l’intérêt supérieur de la nation doit à tout prix se brancher sur les préoccupations du pauvre peuple. Je vous les garroche dans le désordre de l’actualité québécoise en vous disant que ma conférence traitera des solutions à apporter aux problèmes suivants :
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un avenir sombre pour les 65 ans et plus qui ne se voient offrir que l’euthanasie pour leurs vieux jours;
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les droits des minorités qui surpassent ceux de la majorité canadienne-français;
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notre incapacité à assumer plus de 30% de notre autonomie alimentaire;
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notre incapacité à résoudre les temps d’attente de 12 à 18 heures dans les salles d’attente à l’urgence parce que les solutions les plus simples et les plus évidentes sont laissées de côté;
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l’élite politique du Québec qui a d’ores et déjà accepté que l’anglais est la langue de préférence à Montréal et qu’il faut accepter que la nation canadienne-française soit appelée à disparaître dans quelques décennies;
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l’élite politique du Québec vendue au multiculturalisme de Trudeau, qui avec sa motion M-103 protège uniquement l’Islam au Canada en méprisant les autres religions qui subissent l’antisémitisme, la christianophobie, et autres. Dans les faits, M-103 donne à l’Islam, le statut de religion d’état;
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l’incapacité de l’État du Québec à assumer le financement de ses projets. La Banque du Québec sera la pierre angulaire pour favoriser la substitution des biens importés par des produits fabriqués localement;
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fini la gouverne par sondage et place au RIP (Référendum d’Initiative Populaire);
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fini l’explosion des taxes municipales engendrées par des fonctionnaires municipaux gagnant 38% de plus que les fonctionnaires provinciaux;
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fini l’État-providence et vive l’État-subsidiaire;
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fini l’iniquité électorale par l’adoption d’un système d’élections à la proportionnelle.
L’initiative du Mouvement républicain du Québec vise à sortir le Québec du désastre socio-politique évident provoqué par notre élite intellectuelle incapable de résoudre les problèmes de la nation. Cette initiative conduira-t-elle à un regroupement des forces nationalistes canadiennes-françaises formées de partis, mouvements et organisations politiques désireux d’adopter une plateforme politique commune.
Au parti unité nationale, nous souhaitons vivement que la concrétisation de cette plateforme politique commune se fasse dès l’automne prochain, à l’occasion d’une JDQ, (Journée Débat Québec) consacrée aux solutions préconisées par les forces nationalistes canadiennes-françaises.
Reporter cette JDQ en 2018, serait une grave erreur puisque la majorité d’entre nous seraient en campagne électorale ! C’EST À L’AUTOMNE QUE ÇA SE PASSE OU JAMAIS !
Gilles Noël
Chef du Parti unité nationale
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