Amir
Le peuple québécois est victime d’un racisme systémique promu par les lobbies
Par | Le 24/06/2017 | Dans Événements | Commentaires (0)
Cet article fait suite à ce que nous avons publié sur le site internet du Mouvement républicain du Québec, le 9 mai 2017. Nous nous posions alors cette question : "Il y a un mystère qui devra bientôt et rapidement être résolu. Tente-t-on dans les hautes instances gouvernementales de nous dissimuler un plan machiavélique visant à détruire l’identité québécoise, contribuant ainsi à la disparition et à l’extinction de notre nation francophone ?".
Il est très clair que le foyer des mouvements anarcho-communistes d'extrême-gauche (ou plutôt d'extrême-droite) prend sa source au sein des institutions d'enseignement telles que l'Université Concordia, l'Université du Québec et le Collège de Maisonneuve. Nous parlons ici de l’Association facultaire étudiante des sciences humaines de l’UQAM (AFESH), de la Société Générale des Étudiantes et Étudiants du Collège de Maisonneuve (SOGÉÉCOM), et du Groupe de recherche d’intérêt public du Québec (GRIP) à Concordia. Par leurs écrits et leurs actions répréhensibles, ces groupuscules extrémistes, — à l'ombre des associations étudiantes —, incitent à la haine d'un groupe identifiable, composé d'individus qui ne souhaitent que protéger leurs acquis et leur identité en tant que peuple et en tant que nation.
L’AFESH est le genre d'organisation extrémiste de gauche qui incite à la haine du blanc - en particulier du blanc québécois - à laquelle le gouvernement tend l'oreille pour mettre en place sa commission provinciale sur le racisme systémique des québécois.
Nos politiciens québécois devront-ils faire des excuses auprès de Marine Le Pen ?
Par | Le 25/04/2017 | Dans Politique internationale | Commentaires (0)
À moins de 15 jours du 2e tour à l'élection présidentielle en France durant lequel Marine Le Pen pourrait bien devenir la Présidente de la République française, il est temps de faire le bilan sur l'accueil déplorable que lui réserva en 2016 la caste politique lors de son voyage en sol québécois et canadien.
En mars 2016, en visite au Québec, les principaux partis politiques la boudèrent avec mépris. Alors que Marine Le Pen passait la semaine au Canada, dans le cadre de la visite de la Commission du commerce international du Parlement européen dont elle est membre, la majorité des politiciens québécois refusèrent de la rencontrer : Philippe Couillard, François Legault, Pierre Karl Péladeau.
Le député péquiste Bernard Drainville eut l'outrecuidance de dire : « Elle devrait débarquer de l'avion et rembarquer illico, retourner chez elle ». Bien qu'il admette que ses idéologies soient opposées aux siennes, Amir Khadir s'est dit prêt pour sa part à s'asseoir avec la présidente du Front national, ajoutant : « Comprenez-moi bien, c'est par humanisme que je me suis offert » (SIC!).