extrême-droite
Le peuple québécois est victime d’un racisme systémique promu par les lobbies
Par | Le 24/06/2017 | Dans Événements | Commentaires (0)
Cet article fait suite à ce que nous avons publié sur le site internet du Mouvement républicain du Québec, le 9 mai 2017. Nous nous posions alors cette question : "Il y a un mystère qui devra bientôt et rapidement être résolu. Tente-t-on dans les hautes instances gouvernementales de nous dissimuler un plan machiavélique visant à détruire l’identité québécoise, contribuant ainsi à la disparition et à l’extinction de notre nation francophone ?".
Il est très clair que le foyer des mouvements anarcho-communistes d'extrême-gauche (ou plutôt d'extrême-droite) prend sa source au sein des institutions d'enseignement telles que l'Université Concordia, l'Université du Québec et le Collège de Maisonneuve. Nous parlons ici de l’Association facultaire étudiante des sciences humaines de l’UQAM (AFESH), de la Société Générale des Étudiantes et Étudiants du Collège de Maisonneuve (SOGÉÉCOM), et du Groupe de recherche d’intérêt public du Québec (GRIP) à Concordia. Par leurs écrits et leurs actions répréhensibles, ces groupuscules extrémistes, — à l'ombre des associations étudiantes —, incitent à la haine d'un groupe identifiable, composé d'individus qui ne souhaitent que protéger leurs acquis et leur identité en tant que peuple et en tant que nation.
L’AFESH est le genre d'organisation extrémiste de gauche qui incite à la haine du blanc - en particulier du blanc québécois - à laquelle le gouvernement tend l'oreille pour mettre en place sa commission provinciale sur le racisme systémique des québécois.
Robert Leduc — « J’y étais à ce colloque du Mouvement Républicain du Québec »
Par | Le 21/06/2017 | Dans Événements | Commentaires (0)
[Un commentaire écrit par Robert Leduc] — J’y étais à ce colloque du Mouvement Républicain du Québec. Tsé, ce colloque accusé dans Le Devoir (qui s’est excusé) et par un groupe d’extrême-gauche (que je ne nommerai même pas) [1] d'être un rassemblement d’extrême-droite… Tellement que le cégep de Maisonneuve a finalement annulé la location prévue de son auditorium aux organisateurs du colloque qui a dû se tenir à Vaudreuil-Dorion, dans le plus grand des secrets. La Meute [2], qui n'avait rien à voir avec l'événement au départ a finalement pris le contrat d'assurer la sécurité qui n'avait rien d'un rassemblement de criminels dangereux. Et je leur dit bravo. Tant qu'il y aura des groupes intimidants, nous aurons besoin de nous faire protéger.
Et malgré tout, il y a longtemps que je n'avais pas vu autant de sourire dans une même journée. Merci aux organisateurs.
Diffamation : Les plates excuses du Devoir. Les dessous fumants d’une vile manoeuvre
Par | Le 10/06/2017 | Dans Presse et Médias | Commentaires (0)
[Richard LE HIR] — Pris en flagrant délit de diffamation sans justification pour avoir associé le soussigné à l’extrême-droite à titre de « porte-étendard » dans un article publié mercredi, Le Devoir, en conformité avec les exigences de la Loi de la presse, publie ce matin le rectificatif suivant :
« Rectificatif
9 juin 2017Le Devoir a publié sur ses plateformes numériques, le mercredi 7 juin, une photo de l’ex-ministre péquiste Richard Le Hir pour illustrer sa participation à une conférence au collège de Maisonneuve. Malheureusement, la combinaison du titre de l’article et de la photo pouvait laisser croire qu’il était un porte-étendard de l’extrême droite. Ce n’était pas notre intention. Nous nous en excusons ».
La population québécoise est victime d'un racisme systémique promu par les lobbies
Par | Le 09/05/2017 | Dans Conspiration | Commentaires (0)
Il y a un mystère qui devra bientôt et rapidement être résolu. Tente-t-on dans les hautes instances gouvernementales de nous dissimuler un plan machiavélique visant à détruire l'identité québécoise, contribuant ainsi à la disparition et à l'extinction de notre nation francophone ?
Depuis le mois de mars, à trois reprises, une institution ou un organisme relevant de l’État a retiré le fleurdelisé pour une raison de gestion comptable. On se souvient du tollé provoqué par l’annonce de la SAQ, alors que la Société d’État avait décidé de retirer le drapeau de la devanture de ses succursales car l’entretien coûtait, soutenait-elle à l’époque, trop cher.
(Depuis, la SAQ s’est engagée à continuer de déployer le fleurdelisé sur ses magasins. "La SAQ comprend la sensibilité des Québécois à cet égard et l’importance qu’ils accordent à ce que le drapeau soit bien visible sur les magasins de leur société d’État.").
À peine quelques semaines plus tard, un citoyen avait remarqué que le drapeau du Québec brillait par son absence au premier endroit où l’on s’attend de le voir flotter : au sommet de la tour centrale de l’Assemblée nationale. Cette fois-ci, le mécanisme du mât était brisé et le gouvernement n’a pas jugé bon de le réparer de manière diligente. Le 6 mai dernier, le Musée national des beaux-arts du Québec annonçait à son tour que le fleurdelisé ne flottera désormais plus au sommet de son pavillon principal pour des raisons semblables.