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Le Prince Arthur Louis Pagan Nieves reçoit le titre de membre honoraire au sein du Mouvement républicain du Québec
Par | Le 10/01/2018 | Commentaires (0)
Le Prince Arthur Louis Pagan Nieves a reçu et accepté le titre de membre honoraire au sein de l'organisation socio-politique du Mouvement républicain du Québec, en tant que chef de la Maison de Homestead établie à La Massana, dans la Principauté d'Andorre. Infirmier de vol (RN restricted) dans l'Armée de l'air américaine, celui-ci a fait des études en ingénierie aérospatiale à l'Institut de Technologie du Massachusetts (MIT). Il passe de 4 à 6 mois à La Massana en Andorre et de 4 à 6 mois à Miami, aux États-Unis. Le Prince Arthur Louis Pagan Nieves a reçu un certificat honorifique.
Publié par Louis Even en févier 1939. « Qui sont les vrais Maîtres du Monde? » [2/2]
Par | Le 14/05/2017 | Dans Économie | Commentaires (0)
[Louis Even, janvier 1939] — Dans l’article précédent, nous donnions une esquisse de l’emprise de la finance internationale sur la civilisation de deux continents au cours des deux cent cinquante dernières années. Nous notions en passant l’action remarquable de Lincoln pour affranchir l’Amérique d’un joug dont il comprenait toute la hideur (horreur). À nulle époque peut-être, dans le passé, les financiers internationaux ne trouvèrent-ils leur monopole aussi directement menacé, et quelques documents contemporains nous renseignent sur leurs activités en même temps que sur l’esprit qui les a toujours animés.
Le billet de 5 dollars émis sous Lincoln en 1861.
Publié par Louis Even en janvier 1939. « Qui sont les vrais Maîtres du Monde? » [1/2]
Par | Le 04/05/2017 | Dans Économie | Commentaires (0)
[Louis Even, janvier 1939] — Le système bancaire actuel est pur banditisme, quiconque s’est donné la peine d’étudier la question (la création de crédit-monnaie-dette par les banques et le contrôle absolu de l’intermédiaire d’échange par les banques), n’en peut douter. Mais c’est un banditisme légalisé c’est-à-dire qu’en conduisant ce racket au profit d’une petite clique d’individus sur le dos du public, les banques restent dans les limites de leur charte, c’est la « patente » accordée par le gouvernement souverain à une machine qui saigne et tue l’humanité.
Dès les premiers siècles de notre ère, on trouve des parasites, tenant des comptoirs pour prêter l’argent et, par l’usure, mettre le grappin sur toute la circulation monétaire des pays où ils opèrent. Ils ne s’installent pas n’importe où.
On les chercherait en vain dans les pays où il n’y a rien à rafler, pas plus que vous ne voyez le banquier accompagner le premier groupe de colons qui s’enfonce dans les bois du nord québécois. Par exemple, lorsque l’empire romain est prospère; ils reçoivent les hommages et le fruit du travail des producteurs des plaines de Lombardie. L’Angleterre sort plus tard de la barbarie et ses marins rapportent de leurs expéditions les richesses du monde. Nos prêteurs d’argent ont le flair juste et ils colonisent à leur façon une rue de Londres restée célèbre dans le domaine de la finance internationale sous le nom de Rue des Lombards (Lombard Street).