Résistance
Le Canada tire sur sa population — Le 1er avril 1918 — Émeute à Québec contre la conscription : résistance politique ou culturelle ?
Par | Le 09/04/2018 | Commentaires (0)
L'émeute de Québec de 1918 s'est déroulée à Québec (Canada) dans le contexte de la crise de la conscription. Dès le début de la Première Guerre mondiale, la population du Québec est inquiète, car elle craint que le gouvernement fédéral finisse par imposer la conscription quand il n'y aura plus de volontaires. En 1915, Ottawa commence d'ailleurs une campagne discrète afin de rendre la conscription sympathique aux Québécois, car le recrutement de volontaires commence à s'essouffler.
En 1916 au Québec, les premières échauffourées ont lieu entre les recruteurs et la population à Québec. Celle-ci accuse le gouvernement d'angliciser l'armée et de favoriser les officiers canadiens-anglais. Au printemps 1917, lors de la conférence impériale de Londres, le Premier ministre Borden subit de lourdes pressions des Britanniques pour imposer la conscription. Le 29 mai, il dépose à la Chambre des communes du Canada le projet de loi, qui est approuvé le 24 juillet par 102 voix contre 44.
Renaud Camus annonce la fondation du Conseil National de la Résistance Européenne (vidéo)
Par | Le 22/11/2017 | Commentaires (0)
L’immigration est devenue invasion, l’invasion submersion migratoire.
La France et l’Europe sont cent fois plus colonisées, et plus gravement, qu’elles n’ont jamais colonisé elles-mêmes. La colonisation irréversible, c’est la colonisation démographique, par transfert de population.
Certains disent qu’il n’y a pas colonisation parce qu’il n’y a pas conquête militaire. Ils se trompent. L’armée de la conquête, ce sont les délinquants petits et grands, tous ceux qui rendent la vie impossible aux Français en leur nuisant de toutes les façons imaginables, des trop fameuses incivilités jusqu’au terrorisme, qui n’en est que le prolongement. Tous les auteurs d’attentats ont fait leurs premières armes dans la délinquance de droit commun. Il n’y a d’ailleurs pas de terroristes. Il y a un occupant qui, de temps en temps, exécute quelques otages, nous, comme l’ont toujours fait tous les occupants. J’appelle occupants tous ceux qui se déclarent tels, ou s’affichent tels par leur comportement.