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La grande dictature BIG BROTHER est à nos portes — La Chine met en place un système de notation de ses citoyens pour 2020
Par | Le 16/04/2018 | Commentaires (0)
Le Système de crédit social est un projet du gouvernement chinois visant à mettre en place d'ici 2020 un système national de réputation des citoyens. Chacun d'entre eux se voit attribuer une note, dite « crédit social », fondée sur les données dont dispose le gouvernement à propos de leur statut économique et social. Le système repose sur un outil de surveillance de masse et utilise les technologies d'analyse du big data. Il est également utilisé pour noter les entreprises opérant sur le marché chinois.
La première mention connue du projet remonte à la publication du rapport State Council Notice concerning Issuance of the Planning Outline for the Construction of a Social Credit System (2014–2020) par le Conseil des affaires de l'État de la République Populaire de Chine le 14 juin 2014. Rogier Creemers, post-doctorant et chercheur au Programme for Comparative Media Law and Policy de l'Université d'Oxford, publie alors une traduction du document.
Traitement des peuples autochtones dans le système de justice canadien : l'APNQL appuie les demandes pour une Commission royale
Par | Le 27/02/2018 | Commentaires (0)
WENDAKE, QC, le 27 févr. 2018 /CNW Telbec/ - L'Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador (APNQL) se dit solidaire des Premières Nations du mouvement demandant une réforme du système de justice canadien qui traite d'une façon inacceptable les peuples autochtones.
La monnaie locale — Un complément au système monétaire inflationniste actuel
Par | Le 29/05/2017 | Dans Économie | Commentaires (0)
Une monnaie locale est, en sciences économiques, une monnaie non soutenue par un gouvernement national (qui n'a pas nécessairement cours légal), et destinée à n'être échangée que dans une zone restreinte. Les monnaies de ce type sont également appelées monnaies complémentaires. Elles prennent de nombreuses formes, aussi bien matérielles que virtuelles. Parler de monnaie locale, c'est s'inscrire dans un discours économique particulier. Il en existe plusieurs milliers dans le monde et plusieurs dizaines en France (Sol-violette à Toulouse, Stück à Strasbourg, etc.).
La banque libre est l'environnement économique des monnaies locales. Les monnaies locales les plus connues de l'ère moderne sont les jetons de salaire émis par des entreprises pour payer les travailleurs, et les jetons de certains commerces pour favoriser la loyauté de leurs clients. Au dix-neuvième siècle et au début du vingtième, les défaillances des banques nationales durant les crises ont fréquemment créé une forte demande de liquidités, à laquelle satisfaisaient les monnaies de nécessité créées par les chambres de commerce, des municipalités, des entreprises et des commerçants. Ces monnaies étaient généralement destinées à être rachetées en monnaie nationale à une date ultérieure.
Publié par Louis Even en févier 1939. « Qui sont les vrais Maîtres du Monde? » [2/2]
Par | Le 14/05/2017 | Dans Économie | Commentaires (0)
[Louis Even, janvier 1939] — Dans l’article précédent, nous donnions une esquisse de l’emprise de la finance internationale sur la civilisation de deux continents au cours des deux cent cinquante dernières années. Nous notions en passant l’action remarquable de Lincoln pour affranchir l’Amérique d’un joug dont il comprenait toute la hideur (horreur). À nulle époque peut-être, dans le passé, les financiers internationaux ne trouvèrent-ils leur monopole aussi directement menacé, et quelques documents contemporains nous renseignent sur leurs activités en même temps que sur l’esprit qui les a toujours animés.
Le billet de 5 dollars émis sous Lincoln en 1861.
Publié par Louis Even en janvier 1939. « Qui sont les vrais Maîtres du Monde? » [1/2]
Par | Le 04/05/2017 | Dans Économie | Commentaires (0)
[Louis Even, janvier 1939] — Le système bancaire actuel est pur banditisme, quiconque s’est donné la peine d’étudier la question (la création de crédit-monnaie-dette par les banques et le contrôle absolu de l’intermédiaire d’échange par les banques), n’en peut douter. Mais c’est un banditisme légalisé c’est-à-dire qu’en conduisant ce racket au profit d’une petite clique d’individus sur le dos du public, les banques restent dans les limites de leur charte, c’est la « patente » accordée par le gouvernement souverain à une machine qui saigne et tue l’humanité.
Dès les premiers siècles de notre ère, on trouve des parasites, tenant des comptoirs pour prêter l’argent et, par l’usure, mettre le grappin sur toute la circulation monétaire des pays où ils opèrent. Ils ne s’installent pas n’importe où.
On les chercherait en vain dans les pays où il n’y a rien à rafler, pas plus que vous ne voyez le banquier accompagner le premier groupe de colons qui s’enfonce dans les bois du nord québécois. Par exemple, lorsque l’empire romain est prospère; ils reçoivent les hommages et le fruit du travail des producteurs des plaines de Lombardie. L’Angleterre sort plus tard de la barbarie et ses marins rapportent de leurs expéditions les richesses du monde. Nos prêteurs d’argent ont le flair juste et ils colonisent à leur façon une rue de Londres restée célèbre dans le domaine de la finance internationale sous le nom de Rue des Lombards (Lombard Street).