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La visite de la reine Élisabeth II à Québec et le « samedi de la matraque », en 1964
Par | Le 20/04/2017 | Dans Monarchie | Commentaires (0)
Luc Nicole-Labrie — Le duc et la duchesse de Cambridge (dixit William et Kate) étaient en visite au Canada en 2011. Présents lors des événements soulignant la fête du Canada à Ottawa (rapporté par cyberpresse.ca). Ce voyage constituait un premier voyage officiel à l'étranger pour le jeune couple marié et il était assuré, comme à chaque passage de la royauté au Canada, que des manifestations soient organisées par différentes tendances antimonarchistes, surtout au Québec, pour souligner cet événement. Faut-il rappeler qu'une de ces visites s'est soldée par l'une des manifestations les plus célèbres de la seconde moitié du XXe siècle au Québec.
L'année 1964 marque le quatrième voyage officiel au Canada pour la jeune reine Élisabeth II, alors âgée de 38 ans (fait à noter que l'orthographe anglaise Élizabeth est officiellement utilisée au Canada).
Sécurité publique — Rapport public de 2016 sur la menace terroriste pour le Canada
Par | Le 19/04/2017 | Dans Terrorisme | Commentaires (0)
Le Canada est une nation fondamentalement sécuritaire et pacifique, mais nous ne sommes pas naïfs quant aux enjeux de sécurité qui s'imposent à l'attention du monde.
En tant que ministre de la Sécurité publique et de la Protection civile, il est de mon devoir de conscientiser les Canadiens sur les menaces à la sécurité nationale auxquelles notre pays est confronté, au Canada comme à l'étranger. Afin de contribuer à élaborer une conception commune, ce Rapport offre une évaluation du contexte de la menace en 2015 et début 2016, en s'appuyant sur les connaissances et l'expertise de tous les ministères et les organismes du gouvernement du Canada.
C'est une grave et triste réalité que des groupes terroristes, en particulier le soi-disant État islamique en Iraq et au Levant (EIIL), aient recours à la propagande extrémiste violente pour encourager des personnes à soutenir leur cause. Ce groupe n'est ni islamique, ni un État, et sera donc appelé Daesh (son acronyme arabe) dans le présent rapport.
L'immigration massive et illégale met-elle en péril la sécurité des Canadiens
Par | Le 18/04/2017 | Dans Immigration | Commentaires (0)
Depuis quelques semaines, un nombre croissant d'immigrants illégaux, craignant d'être expulsés des États-Unis par l'administration de Donald Trump, s'introduisent au Canada illégalement en évitant les postes frontières officiels. Le premier ministre manitobain, Brian Pallister, a promis de discuter de cette question avec ses homologues des autres provinces afin de préparer une stratégie à long terme. La Customs and Immigration Union, le syndicat des gardes-frontière du Canada, pense que la frontière canadienne est devenue « un vrai gruyère », et il pense qu’il faut renforcer les équipes en raison de la forte hausse du nombre des immigrés illégaux. Actuellement, près de 300 garde-frontières patrouillent à la frontière du pays avec les Etats-Unis, et selon le syndicat, il faudrait porter ce chiffre à près de 1000.
À Ottawa, l'opposition demande au gouvernement Trudeau d'intervenir pour endiguer l'entrée au pays d'immigrants illégaux en provenance des États-Unis. Un phénomène qui prend de l'ampleur, mais qui n'a pas encore convaincu le premier ministre de modifier les règles d'immigration. C'est donc pour régler ce problème que, depuis des semaines, l'opposition demande des actions concrètes d'Ottawa. « Ça fait des semaines que l’opposition officielle n’arrête pas de dire qu’il y a une problématique à notre frontière et tout ce qu’on entend du premier ministre Justin Trudeau, c’est que tout est beau, tout est calme », a indiqué le député conservateur de Richmond-Arthabaska, Alain Rayes.
Le rapatriement de 1982 : trahison et fin d’un mythe, par Gilbert Paquette
Par | Le 18/04/2017 | Dans Constitution | Commentaires (2)
Le 17 avril 1982, il y a 35 ans, entrait en vigueur une Constitution canadienne, amendant le BNA act de 1867, rapatriée de Londres par le Gouvernement canadien sans l’accord du Québec. Cette trahison à l’égard du peuple québécois rompait un engagement solennel de Pierre Elliot Trudeau au référendum de 1980. Dénoncée régulièrement depuis par des résolutions unanimes de tous les partis représentés à l’Assemblée Nationale du Québec, cette acte unilatéral du Canada anglais met fin définitivement au mythe tenace à l’effet que le Canada de 1867 aurait été un « pacte entre deux nations ».
Dans les derniers jours de la campagne référendaire de 1980, le 14 mai 1980 au Centre Paul Sauvé à Montréal, Le premier ministre canadien Pierre-Elliot Trudeau, au nom de ses collègues du Québec au parlement fédéral, est venu dire aux québécois : « Nous voulons du changement, nous mettons nos sièges en jeu pour avoir du changement ». Donc ce « non » au référendum de 1980 allait vouloir dire un « oui » aux changements espérés par les Québécois.
Le drapeau de la République islamique du Pakistan a flotté à l’Assemblée nationale alors qu'elle est dénudée de son fleurdelisé
Par | Le 13/04/2017 | Dans Politique québécoise | Commentaires (0)
Le Mouvement national des Québécoises et Québécois (MNQ) déplore que la tour centrale de l’Assemblée nationale soit dénudée du drapeau québécois depuis le 5 février dernier, comme nous l’apprend l’article du Soleil paru le 12 avril dernier. Il nous apparaît inacceptable que le fleurdelisé ne flotte pas en cet endroit hautement symbolique, soit au cœur de l’État québécois, pour une si longue période de temps. En foi de quoi, le MNQ exhorte les autorités en place à rectifier la situation dans les plus brefs délais.
De son côté, l’Assemblée rapporte que le mécanisme permettant de hisser le fleurdelisé serait brisé et qu’en raison des travaux de construction du pavillon d’accueil, il serait impossible de pouvoir réparer ledit mât avant l’été 2017. En attendant, on a placé le drapeau sur une autre tour de l’Assemblée.
Le drapeau de la République islamique du Pakistan a flotté aujourd'hui sur une tour de l'hôtel du Parlement, à Québec
Par | Le 11/04/2017 | Dans Droits de la personne | Commentaires (0)
Le drapeau de la République islamique du Pakistan a flotté aujourd'hui sur une tour de l'hôtel du Parlement, à Québec. Le président de l'assemblée nationale, Jacques Chagnon, a ouvert les débats en disant, à 14h : "Et j'ai également le plaisir de souligner la présence du consul général de la République islamique du Pakistan à Montréal, M. Muhammad Aamer, à l'occasion de sa visite de prise de poste". Comment d'un côté le gouvernement du Québec peut-il faire honneur à un État qui entretient des relations aussi ambigües avec le terrorisme et qui tolère pernicieusement la maltraitance et le meurtre des femmes à travers le crime d'honneur, alors que de l'autre côté il insulte de plein fouet son propre peuple en hissant au sommet de son parlement l'étendard islamique du Pakistan ? Quel est donc l'objectif du gouvernement Couillard, sinon celui de provoquer la colère dans la population québécoise ?
La rébellion, la déclaration d'indépendance et la république du Bas-Canada
Par | Le 05/04/2017 | Dans Constitution | Commentaires (0)
La République du Bas-Canada fut une république éphémère autoproclamée dans la foulée des rébellions de 1837-1838 et qui correspond actuellement à la partie méridionale du Québec. La déconfiture de la Rébellion n'a jamais permis l'établissement réel de cet État.
Colonie britannique depuis 1763, la province de Québec fut séparée en deux colonies distinctes en 1791 : la Province du Bas-Canada, principalement peuplée par des descendants français et la Province du Haut-Canada, principalement peuplée de colons britanniques et de loyalistes américains ayant fui la révolution. Chaque entité étant dotée d'une assemblée élue.
Les francophones, qui sont majoritaires au Bas-Canada, ont l'espoir de pouvoir prendre en main les décisions importantes. Toutefois, de graves mécontentements émergent rapidement car l'assemblée est réduite à un rôle esthétique, tous les pouvoirs importants étant concentrés entre les mains d'un gouverneur nommé par Londres, lequel comprend mal les intérêts du peuple du Bas-Canada qui sont souvent opposés à ceux des Britanniques.
Le Domaine Sagard - Le Clan Desmarais et l'élite mondialiste qui nous gouvernent
Par | Le 04/04/2017 | Dans Conspiration | Commentaires (0)
Le domaine Laforest, couramment appelé Sagard, est un domaine forestier de 76,3 km² (21 000 acres) situé à Sagard, un territoire non-organisé de Charlevoix, au Québec (Canada). Il appartient à la succession de Paul Desmarais (père). Le domaine Laforest est accessible par la route 170, qui relie Saint-Siméon au Saguenay–Lac-Saint-Jean. Le cœur du domaine est accessible via un chemin privé long de dix kilomètres. Sagard est parcouru par la rivière Petit Saguenay, une rivière à saumons, et le ruisseau Laurent.