Allocution
Pourquoi la corruption institutionnalisée et le saccage organisé au Québec ont abouti à un régime de démocratie totalitaire
Par | Le 04/07/2017 | Dans Économie | Commentaires (0)
Allocution de Jean-Louis Pérez-Martel lors du colloque du Mouvement républicain du Québec. Samedi le 17 juin 2017 — Afin de bien saisir le commencement de la corruption institutionnalisée au Québec, il faut retenir deux événements ayant marqué cet état d’infractions par ceux qui trafiquent de leur autorité ou de ceux qui cherchent à les corrompre. Ces deux événements sont le vol du Référendum de 1995 et l’« exécution parlementaire » du Patriote Yves Michaud [surnommé le « Robin des banques » d'après ses actions comme président fondateur du Mouvement d'éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC)] ayant eu lieu le 14 décembre 2000 par la motion de blâme adoptée à l’unanimité et sans débat par l’Assemblée nationale du Québec. [1]
Deux des principaux imposteurs de la politique Lucien Bouchard [2] et Jean Charest, (ex-ministres du Parti Conservateur du Canada, des mercenaires politiques et transfuges) [3] vont entrer en connivence pour que le deuxième référendum sur l’indépendance du Québec de 1995 soit un échec pour le camp du OUI. Concernant l’« assassinat » civico-politique d’Yves Michaud (il voulait briguer l'investiture du Parti Québécois dans la circonscription de Mercier), alors ce sont ces deux mêmes mercenaires de la politique qui vont être les grands exécuteurs.
Allocution de Monsieur Richard Le Hir lors du colloque du Mouvement républicain du Québec. Samedi le 17 juin 2017
Par | Le 03/07/2017 | Dans Événements | Commentaires (0)
Un mot tout d’abord pour remercier les organisateurs de leur invitation à participer à ce colloque. Je ne m’attendais évidemment pas à la controverse que sa tenue a suscité, ni à me faire étiqueter par Le Devoir, du fait de ma participation, « porte-étendard » de l’extrême-droite, mais le manque de rigueur et de professionnalisme du Devoir s’est retourné contre lui lorsqu’il a été obligé de publier un rectificatif avec ses excuses à la suite de la mise en demeure que je lui ai signifié immédiatement après avoir pris connaissance de l’article de sa journaliste Lisa-Marie Gervais et de ma photo qui l’illustrait.
Quand on sait à quel point les médias répugnent à reconnaître leurs erreurs en raison de la perte de crédibilité qui en résulte, on mesure tout le chemin que Le Devoir a dû parcourir pour s’y résigner, de même que tout l’intérêt et la valeur de ces excuses. La nouvelle de ma mise en demeure et de la réponse du Devoir s’est propagée à la vitesse d’une traînée de poudre dans les salles de presse au Québec et au Canada, et elle va avoir pour effet un regain général de prudence dans l’utilisation d’amalgames diffamatoires par les médias dont nous allons tous profiter. Comme quoi le proverbe n’a pas tort lorsqu’il énonce qu’« à quelque chose malheur est bon ».
Sommet de l'OTAN : Le discours de Donald Trump
Par | Le 26/05/2017 | Commentaires (0)
REUTERS — Très attendue, la brève allocution du président américain au nouveau siège de l'ONU à Bruxelles n'a toutefois pas apporté les clarifications souhaitées par ses alliés, échaudés ces derniers mois par sa remise en cause du principe de défense systématique, contenue dans l'article 5 de la charte de l'organisation, qui stipule qu'une attaque contre l'un de ses membres est considérée comme une attaque contre tous.
« Nous ne renoncerons jamais à notre détermination à vaincre le terrorisme et à assurer une sécurité, une prospérité et une paix durables », a déclaré Donald Trump, juste après avoir dévoilé un mémorial des attentats du 11 septembre 2001. « Il faut mettre un terme au terrorisme [...] ou l'horreur que vous avez vue à Manchester et à tant d'autres endroits se poursuivra sans fin », a-t-il ajouté.
La venue de Donald Trump au mini-sommet de l'OTAN, une première pour le président américain depuis son investiture en janvier dernier, survient sur fond d'inquiétudes des pays d'Europe de l'Est sur un possible désengagement américain en cas d'agression de la Russie.
Des inquiétudes nourries par les critiques répétées du locataire de la Maison-Blanche, qui a qualifié l'Alliance « d'obsolète » – avant de se raviser – et a estimé qu'elle était trop financée par les États-Unis, préconisant une nouvelle répartition des coûts.