Londres
Benjamin Fulford : Fin de jeu pour la Cabale alors que se dessinent à l’horizon les Tribunaux de Nuremberg II
Par | Le 08/03/2018 | Commentaires (0)
Benjamin Fulford : Selon de nombreuses sources, la faction mafieuse Khazariane, qui a tenté de déclencher la troisième guerre mondiale et de tuer 90 % de l'humanité, est maintenant sur le point de disparaître. Le signe le plus clair en est un décret exécutif du 1er mars 2018, intitulé « Amendements au Manuel des cours martiales, États-Unis » et une annexe de 636 pages publiée le le même jour par le Président Américain Donald Trump et le Ministère de la Défense et qui prépare le terrain pour les tribunaux de Nuremberg.
Selon les sources du Pentagone, l'essentiel de ces ordonnances était que tous les civils Américains soient soumis à la justice militaire, et que l'armée puisse engager des experts juridiques non militaires pour assister les tribunaux à venir. La clause suivante de la page 2 à l'annexe 2 présente un intérêt particulier, en ce sens qu'elle décrit comme suit un exercice de la compétence militaire : Une administration gouvernant temporairement la population civile sur son territoire ou une partie de son territoire par l'intermédiaire de ses forces militaires, selon ce que la nécessité l'exige (loi martiale).
Le rapatriement de 1982 : trahison et fin d’un mythe, par Gilbert Paquette
Par | Le 18/04/2017 | Dans Constitution | Commentaires (2)
Le 17 avril 1982, il y a 35 ans, entrait en vigueur une Constitution canadienne, amendant le BNA act de 1867, rapatriée de Londres par le Gouvernement canadien sans l’accord du Québec. Cette trahison à l’égard du peuple québécois rompait un engagement solennel de Pierre Elliot Trudeau au référendum de 1980. Dénoncée régulièrement depuis par des résolutions unanimes de tous les partis représentés à l’Assemblée Nationale du Québec, cette acte unilatéral du Canada anglais met fin définitivement au mythe tenace à l’effet que le Canada de 1867 aurait été un « pacte entre deux nations ».
Dans les derniers jours de la campagne référendaire de 1980, le 14 mai 1980 au Centre Paul Sauvé à Montréal, Le premier ministre canadien Pierre-Elliot Trudeau, au nom de ses collègues du Québec au parlement fédéral, est venu dire aux québécois : « Nous voulons du changement, nous mettons nos sièges en jeu pour avoir du changement ». Donc ce « non » au référendum de 1980 allait vouloir dire un « oui » aux changements espérés par les Québécois.
Scandale au Canada - Le rapatriement de la Constitution de 1982 était-il un coup d'État?
Par | Le 07/03/2017 | Dans Constitution | Commentaires (0)
Pierre Elliott Trudeau vouait une reconnaissance sans borne à Margaret Thatcher qui a été pour lui une précieuse alliée dans le coup d'État qu'a représenté le rapatriement de la constitution canadienne au début des années 80, écrit l'historien Frédéric Bastien. Coup du hasard, son livre, La Bataille de Londres. Dessous, secrets et coulisses du rapatriement constitutionnel est paru quelques heures après le décès de l'ancienne première ministre britannique.
Pour celui qui a consacré huit ans de sa vie à des demandes d'accès à l'information auprès d'Ottawa et de Londres et qui a fouillé maintes archives, aucun doute possible: ce rapatriement de la constitution canadienne a été un coup d'État rendu possible par deux juges de la Cour suprême, Willard Estey et Bora Laskin. Le premier, écrit Bastien, a secrètement avisé les Britanniques, à l'automne 1980, que la Cour suprême se saisirait certainement de la question constitutionnelle. Le second, Laskin, est intervenu à maintes reprises dans le processus politique pour inciter le gouvernement à saisir la Cour suprême du dossier constitutionnel. Ensuite, il a informé les instances politiques des tractations entre juges.