Benjamin Fulford : Fin de jeu pour la Cabale alors que se dessinent à l’horizon les Tribunaux de Nuremberg II

Les sources du Pentagone expliquent que, « Trump a signé le Décret Exécutif le 1er mars 2018 pour amender le manuel de la cour martiale afin d'obtenir l'aide juridique civile, et préparer le public aux tribunaux militaires Nuremberg II pour la Cabale devant la vérité et la réconciliation ». Il semble qu'au moins certains meurtriers génocidaires en série ne vont pas s'en tirer en disant "désolé".

L'autre grand coup du gouvernement Trump la semaine dernière, a été de lancer les premières salves d'une guerre commerciale. La première a été l'annonce que les États-Unis allaient imposer des droits de douane de 25 % et de 10 %, respectivement, sur les importations d'acier et d'aluminium. C'est pour le moins étrange, parce que ce mouvement vise surtout les alliés des États-Unis. Le Canada, qui avait un déficit commercial de 7,7 milliards de dollars avec les États-Unis en 2017, représente 16 % et 41 %, respectivement, des importations en acier et en aluminium des États-Unis.

La Chine, qui avait un excédent commercial de 288 milliards de dollars avec les États-Unis en 2017, ne représente que 2 % et moins de 1 %, respectivement, des importations Américaines en acier et en aluminium.

Les autres grandes victimes de ces tarifs douaniers projetés sont en principe des pays alliés comme le Japon, la Corée du Sud et le Brésil.

Il est également clair que ce mouvement ne concerne pas l'armée Américaine. Le secrétaire à la Défense des États-Unis, James Mathis, a envoyé une lettre au Département du Commerce en soulignant que l'armée des États-Unis n'utilise que 3 % de la capacité de fabrication de l'acier et de l'aluminium des États-Unis, et qu'il était préoccupé par « l'impact négatif de ce mouvement sur nos alliés les plus importants ».

À première vue, il semble que les cow-boys du Département du Commerce de Trump sont plus désireux d'intimider les pays faibles, que de s'attaquer au déficit commercial des États-Unis de 800 milliards de dollars par an. Si la lutte concernait vraiment le commerce, les États-Unis auraient dû imposer des droits de douane sur les 262 milliards de dollars d'équipement et de machines électroniques qu'ils importent chaque année de Chine. Les cow-boys du Commerce n'ont pas ciblé la Chine parce qu'ils doivent s'assurer que la Chine leur prête davantage d'argent pour éviter la faillite.

La véritable raison de l'attaque du régime Trump contre le Canada et d'autres alliés, c'est que ces pays veulent que le gouvernement corporatif en faillite des États-Unis soit remplacé par un régime complètement différent.

N'oubliez pas que les Européens, y compris le Royaume-Uni, l'Allemagne, l'Italie, la Suisse, la France et le Canada, se sont séparés des mafieux Khazarians qui contrôlent le système financier des États-Unis, pour travailler avec la Chine sur leur BIIA, et maintenant sur leur initiative One Belt, One Road (OBOR). L'initiative OBOR, d'une valeur de 8 trillions de dollars, est environ 60 fois plus importante que le fameux plan Marshall. À l'heure actuelle, les États-Unis sont en train de manquer quelque chose.

Dans le prochain grand mouvement d'échecs géopolitique, la négociation de contrats à terme sur le pétrole utilisant le yuan appuyé par l'or, commencera en Chine le 26 mars. Cela va porter un autre coup aux contrôleurs financiers du pétrodollar, qui ne contrôlent plus que les États-Unis, le Japon, Israël et l'Arabie Saoudite. Tout porte à croire que l'Arabie Saoudite et le Japon sont sur le point de se retourner, si bien qu'il ne restera bientôt que les États-Unis et Israël.

Selon des sources de la CIA et du Pentagone, le marché boursier va s'effondrer pour mettre en faillite les cabalistes restants aux États-Unis et en Israël, et préparer la voie à un nouveau système financier adossé à des actifs pour l'Occident, en complément de celui que la Chine est sur le point de lancer. L'armée Américaine, pour sa part, contourne le Ministère du Commerce et ouvre des négociations directes avec la Chine, selon un responsable du Pentagone impliqué dans ces négociations.

Selon la source, l'armée des États-Unis envisage d'échanger de la haute technologie, principalement dans les domaines de l'énergie et de l'aéronautique, en échange d'une annulation de la dette des États-Unis et du financement de la restructuration totale de l'économie des États-Unis et de son infrastructure. Il y a également des plans sérieux en cours pour lancer une contrepartie occidentale au projet chinois OBOR, ce qui créera un boom économique sans précédent, dit-il.

Déjà, l'armée Américaine a reçu la promesse d'augmentations de salaire et d'un budget plus important de la part du reste du monde, à titre de remerciements pour leur aide dans le nettoyage de la mafia Khazariane. Ce sont donc les membres non militaires du régime Trump - ceux qui risquent de perdre leur emploi - qui tentent d'extorquer de l'argent à leurs alliés, en se servant de menaces de guerre commerciale. C'est aussi la population non militaire du gouvernement des États-Unis qui a été à l'origine des menaces hystériques constantes de déclencher une guerre avec la Corée du Nord.

Les militaires américains affirment à juste titre, qu'une guerre avec la Corée du Nord serait un véritable désastre et ils s'emploient activement à faire en sorte que cela ne se produise jamais. Au lieu de cela, selon la princesse Kaoru Nakamaru, une cousine de l'empereur Hirohito et un canal Japonais vers la Corée du Nord, l'armée des États-Unis a accepté de se retirer de la Corée du Sud et de permettre l'unification Coréenne.

La véritable raison de l'hystérie qui règne dans certaines parties de la structure Américaine n'est évidemment pas la Corée du Nord, mais plutôt les tribunaux militaires en plein essor dont il est question au début de cette histoire.

Pour se faire une idée de la portée de ces tribunaux, il y a maintenant plus de 18 500 actes d'accusation scellés, un chiffre dix fois plus élevé que le nombre de personnes jugées à Nuremberg et dans les procès connexes, selon des sources du Pentagone. En outre, la liste des "acteurs malveillants" qui ont vu leurs avoirs gelés par le Trésor Américain, sur la base du Décret Trump du 21 décembre, est maintenant rendue à 1 108 pages.

En outre, le gouvernement militaire Américain a déclassé les habilitations de sécurité de 130 membres du régime Trump, dont son gendre Jared Kushner.^[1] Collaborateur Mossad/Chabad du Premier Ministre Israélien Benyamin Netanyahu à la Maison Blanche, Jared a perdu son autorisation de sécurité top secrète et il est la cible d'opérations de contre-espionnage, expliquent les sources du Pentagone. De plus, ils ajoutent : « Même Ivanka [Trump] est recherchée par le FBI pour ses liens avec le Mossad/Chabad, car Trump est forcé de mettre le pays au-dessus de sa famille et de laisser tomber Ivanka ».

Tant qu'il met le pays au premier plan, Trump peut être maintenu dans une position de front à long terme pour un régime stable aux États-Unis, tout comme Vladimir Poutine et Xi Jinping le font pour la Russie et la Chine, selon les sources. De plus, alors que l'armée Américaine se prépare à la méritocratie, elle a « déclassé la CIA en un département sous la NSA, assurant ainsi un contrôle militaire total sur l'ensemble des services de renseignement », affirment des sources du Pentagone.

Alors que l'idée d'un gouvernement militaire peut sembler alarmante à de nombreuses personnes, les sources militaires des États-Unis soulignent qu'il ne s'agira que d'une mesure provisoire jusqu'à ce que les gangsters soient démis de leurs fonctions et qu'un gouvernement civil sain puisse être mis en place.

Pendant ce temps, il y a aussi beaucoup de choses qui se passent avec les anciens ordres militaires et les sociétés secrètes. Beaucoup de choses ne peuvent pas encore être rapportées, mais cela peut être confirmé par les négociations ayant lieu, impliquant la ville de Londres, les Templiers, les Chevaliers de Malte, les ordres militaires Russes, les Illuminatis Gnostiques, les Francs-Maçons P2 et autres.

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- Traduction Estelle Petite Étoile

1. Jared Kushner est le propriétaire de la société immobilière Kushner Properties. Après avoir vendu les 22 000 appartements que la famille possède dans le New Jersey, il achète en 2007 le bâtiment le plus cher dans l'histoire des États-Unis : le 666 Fifth Avenue pour 1,8 milliards de dollars. Le prix unitaire payé pour cette acquisition —  1 200 dollars/pied² (12 840 dollars/m²) — est le double du prix le plus élevé payé jusqu'alors sur le marché new-yorkais pour un achat immobilier.