Racisme et Discrimination
[VIDÉO] Goy George veut déposer une plainte collective contre Carlos Leitao accusé de faire de la « discrimination haineuse »
Par | Le 20/03/2018 | Commentaires (0)
[Pascal Bergeron, Le Peuple, 20 mars 2018] — Un citoyen très actif sur les réseaux sociaux, George Tremblay (Goy George), a publié une vidéo Facebook dans laquelle il est revenu sur les propos du ministre provincial des Finances, Carlos Leitao. Rappelons que ce dernier avait affirmé que la Coalition Avenir Québec (CAQ) proposait un « nationalisme ethnique » aux électeurs. « Je n’ai pas peur des mots. C’est ça qui est ça. Ils considèrent que la majorité française est attaquée par tous ces étrangers », avait-il renchéri.
M. Tremblay a annoncé qu'il entreprenait une plainte collective contre M. Leitao à la Commission canadienne des droits de la personne « pour discrimination et haine envers l'origine nationale et ethnique ». Il a créé une page Facebook afin de mobiliser les Québécois sur le sujet et il les invite à la partager massivement. « Dorénavant, ceux qui cherchent les Québécois vont les trouver », a-t-il conclu. Voici la page Facebook en question : www.facebook.com/PLAINTE.LEITAO.
Traitement des peuples autochtones dans le système de justice canadien : l'APNQL appuie les demandes pour une Commission royale
Par | Le 27/02/2018 | Commentaires (0)
WENDAKE, QC, le 27 févr. 2018 /CNW Telbec/ - L'Assemblée des Premières Nations Québec-Labrador (APNQL) se dit solidaire des Premières Nations du mouvement demandant une réforme du système de justice canadien qui traite d'une façon inacceptable les peuples autochtones.
Le peuple québécois est victime d’un racisme systémique promu par les lobbies
Par | Le 24/06/2017 | Dans Événements | Commentaires (0)
Cet article fait suite à ce que nous avons publié sur le site internet du Mouvement républicain du Québec, le 9 mai 2017. Nous nous posions alors cette question : "Il y a un mystère qui devra bientôt et rapidement être résolu. Tente-t-on dans les hautes instances gouvernementales de nous dissimuler un plan machiavélique visant à détruire l’identité québécoise, contribuant ainsi à la disparition et à l’extinction de notre nation francophone ?".
Il est très clair que le foyer des mouvements anarcho-communistes d'extrême-gauche (ou plutôt d'extrême-droite) prend sa source au sein des institutions d'enseignement telles que l'Université Concordia, l'Université du Québec et le Collège de Maisonneuve. Nous parlons ici de l’Association facultaire étudiante des sciences humaines de l’UQAM (AFESH), de la Société Générale des Étudiantes et Étudiants du Collège de Maisonneuve (SOGÉÉCOM), et du Groupe de recherche d’intérêt public du Québec (GRIP) à Concordia. Par leurs écrits et leurs actions répréhensibles, ces groupuscules extrémistes, — à l'ombre des associations étudiantes —, incitent à la haine d'un groupe identifiable, composé d'individus qui ne souhaitent que protéger leurs acquis et leur identité en tant que peuple et en tant que nation.
L’AFESH est le genre d'organisation extrémiste de gauche qui incite à la haine du blanc - en particulier du blanc québécois - à laquelle le gouvernement tend l'oreille pour mettre en place sa commission provinciale sur le racisme systémique des québécois.
La francophobie, tend à réapparaître. Nous unissons nos voix pour la dénoncer
Par | Le 12/05/2017 | Dans Politique québécoise | Commentaires (0)
Au Québec, dans tous les milieux, on condamne de plus en plus haut et fort la misogynie, l’homophobie, l’intimidation, l’islamophobie et les préjugés contre les Autochtones. Une autre forme de discrimination, la francophobie, tend à réapparaître. Aujourd’hui, nous unissons nos voix pour la dénoncer!
La période post-référendaire sur la question linguistique a été qualifiée par certains de « paix linguistique ». Ce fut aussi l’époque du mouvement « partitionniste » et du « Québec bashing » que des sociologues ont reconnu comme des dérapages racistes à l’égard du Québec. On a tenté de réprimer toute réaction aux affaiblissements de la Charte de la langue française et au déclin du français au Québec et au Canada en les qualifiant pour les minimiser de « vieilles chicanes stériles ».