Constitution
Aux États-Unis, la souveraineté est exercée par le gouvernement fédéral et par chacun des cinquante gouvernements d'État
Par | Le 07/04/2018 | Commentaires (0)
Les États-Unis sont une république fédérale composée de cinquante États fédérés auxquels s'ajoutent le district de Columbia — comprenant la capitale Washington — et plusieurs territoires.
Aux États-Unis, la souveraineté est exercée à la fois par le gouvernement fédéral et par chacun des cinquante gouvernements d'État. Un Américain est à la fois citoyen des États-Unis et citoyen de l'État où il est domicilié. En revanche, la citoyenneté d'État est une chose assez flexible et aucune procédure légale n'est nécessaire, sauf rares exceptions, pour changer son domicile d'un État à un autre. Les Américains ont conscience d'appartenir à une même nation, malgré la diversité des régions.
Le mythe est le Canada : l’Acte de l’Amérique du Nord britannique de 1867 n'est pas une Constitution car il ne constitue rien
Par | Le 02/03/2018 | Commentaires (0)
Nephalem Films : Pour comprendre où nous sommes, nous devons d'abord comprendre comment nous sommes arrivés ici... Des recherches approfondies ont mis au jour des événements clés, qui ont à la fois créé et caché la vérité du mythe qu'est le Canada.
Événement : Du 17e siècle au siècle suivant, l'Angleterre et la France étaient des partenaires tendus représentant le Haut-Canada et le Bas-Canada. La mort du général Wolfe dans la bataille finale sur les plaines d'Abraham en 1759, a assuré la victoire de l'Angleterre, le prix finalement connu sous le nom de « Canada ». Le Traité de Paris a fusionné le Haut-Canada anciennement contrôlé par les Britanniques avec le Bas-Canada français en une entité juridique française - une Corporation Sole, la « province de Québec ». Le processus de fusion de 1759 à 1763 a placé le premier gouverneur général britannique au sein de cette corporation unique qui, en 1787, a fusionné tout le « Canada » permettant à la Grande-Bretagne de gouverner ses colonies connues sous le nom de « province du Canada ». Nouveau-Brunswick et Nouvelle-Écosse.
Pendant 80 ans, de 1787 à 1867, les Britanniques ont placé de nombreux gouverneurs généraux dans la Corporation Sole. Émettant des lettres patentes, la monarchie britannique proclama ainsi que les gouverneurs généraux détenaient le « pouvoir » de créer et de contrôler le gouvernement du Canada, en tant que colonie britannique.
Tribunal du Grand Jury du Peuple du Canada — Le Québec est un État national privé appartenant au prête-nom Guy Nadeau
Par | Le 27/12/2017 | Commentaires (0)
Selon le Tribunal du Grand Jury du Peuple du Canada, en 1968, le Québec et le Barreau du Québec ont orchestré un coup d'état et ils ont violé l'Acte de l’Amérique du Nord britannique de 1867 (British North America Act 1867). En se faisant, ils ont aboli le conseil législatif qui servait de rempart contre la corruption et les abus de pouvoir des politiciens qui sont censés favoriser les intérêts du peuple et non les leurs. Pourtant, dans l’affaire de la Délégation inter-parlementaire, Attorney General of Nova Scotia v. Attorney General of Canada ([1951] R.C.S. 31.) le juge en chef Rinfret stipule noir sur blanc (à la p. 34) :
[TRADUCTION] « La Constitution du Canada n’appartient ni au Parlement, ni aux législatures; elle appartient au pays. C’est en elle que les citoyens de ce pays trouveront la protection des droits auxquels ils peuvent prétendre. Le fait que le Parlement ne peut légiférer que sur les sujets que lui assigne l’article 91, et que chaque province peut légiférer exclusivement sur les matières que lui assigne l’article 92, fait partie de cette protection. »
(Jugements de la Cour suprême : Résolution pour modifier la Constitution. [1981] 1 RCS 753. 28 septembre 1981).
Le peuple québécois est victime d’un racisme systémique promu par les lobbies
Par | Le 24/06/2017 | Dans Événements | Commentaires (0)
Cet article fait suite à ce que nous avons publié sur le site internet du Mouvement républicain du Québec, le 9 mai 2017. Nous nous posions alors cette question : "Il y a un mystère qui devra bientôt et rapidement être résolu. Tente-t-on dans les hautes instances gouvernementales de nous dissimuler un plan machiavélique visant à détruire l’identité québécoise, contribuant ainsi à la disparition et à l’extinction de notre nation francophone ?".
Il est très clair que le foyer des mouvements anarcho-communistes d'extrême-gauche (ou plutôt d'extrême-droite) prend sa source au sein des institutions d'enseignement telles que l'Université Concordia, l'Université du Québec et le Collège de Maisonneuve. Nous parlons ici de l’Association facultaire étudiante des sciences humaines de l’UQAM (AFESH), de la Société Générale des Étudiantes et Étudiants du Collège de Maisonneuve (SOGÉÉCOM), et du Groupe de recherche d’intérêt public du Québec (GRIP) à Concordia. Par leurs écrits et leurs actions répréhensibles, ces groupuscules extrémistes, — à l'ombre des associations étudiantes —, incitent à la haine d'un groupe identifiable, composé d'individus qui ne souhaitent que protéger leurs acquis et leur identité en tant que peuple et en tant que nation.
L’AFESH est le genre d'organisation extrémiste de gauche qui incite à la haine du blanc - en particulier du blanc québécois - à laquelle le gouvernement tend l'oreille pour mettre en place sa commission provinciale sur le racisme systémique des québécois.