Politique canadienne
Tribunal du Grand Jury du Peuple du Canada — Le Québec est un État national privé appartenant au prête-nom Guy Nadeau
Par | Le 27/12/2017 | Commentaires (0)
Selon le Tribunal du Grand Jury du Peuple du Canada, en 1968, le Québec et le Barreau du Québec ont orchestré un coup d'état et ils ont violé l'Acte de l’Amérique du Nord britannique de 1867 (British North America Act 1867). En se faisant, ils ont aboli le conseil législatif qui servait de rempart contre la corruption et les abus de pouvoir des politiciens qui sont censés favoriser les intérêts du peuple et non les leurs. Pourtant, dans l’affaire de la Délégation inter-parlementaire, Attorney General of Nova Scotia v. Attorney General of Canada ([1951] R.C.S. 31.) le juge en chef Rinfret stipule noir sur blanc (à la p. 34) :
[TRADUCTION] « La Constitution du Canada n’appartient ni au Parlement, ni aux législatures; elle appartient au pays. C’est en elle que les citoyens de ce pays trouveront la protection des droits auxquels ils peuvent prétendre. Le fait que le Parlement ne peut légiférer que sur les sujets que lui assigne l’article 91, et que chaque province peut légiférer exclusivement sur les matières que lui assigne l’article 92, fait partie de cette protection. »
(Jugements de la Cour suprême : Résolution pour modifier la Constitution. [1981] 1 RCS 753. 28 septembre 1981).
Le Mouvement républicain du Québec recherche des personnes voulant être ses délégués dans les régions du Québec et ailleurs
Par | Le 01/10/2017 | Commentaires (0)
Communiqué du Mouvement républicain du Québec — Nous recherchons des personnes motivées et ayant envie de contribuer à une vague de changements importants au Québec. En effet, nous recherchons 17 personnes voulant occuper le poste de délégué(e) pour chacune des 17 régions administratives du Québec, soit : Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Capitale-Nationale, Centre-du-Québec, Chaudière-Appalaches, Côte-Nord, Estrie, Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine, Lanaudière, Laurentides, Laval, Mauricie, Montérégie, Montréal, Nord-du-Québec, Outaouais et Saguenay–Lac-Saint-Jean.
Vous habitez un autre pays ou une autre province du Canada ? Vous pouvez aussi être un ou une délégué(e) de notre organisation. Le Mouvement républicain du Québec compte déjà parmi ses membres plusieurs délégués, soit en Colombie-Britannique, en Malaisie, en Inde, au Venezuela, au Mexique, en Californie, ainsi qu'un délégué général à Bangkok, en Thaïlande. Tous ensemble, nous pourrons contribuer au changement, non seulement au Québec, mais aussi au niveau mondial.
Nous croyons que c’est dans l’union que nous trouverons toute notre force !
La Cour internationale de justice (CIJ) reconnaîtrait-elle une Déclaration unilatérale d’indépendance du Québec ?
Par | Le 31/07/2017 | Dans Constitution | Commentaires (0)
Selon Jean-François Dubois, le Québec est souverain depuis le 4 novembre 1981, au moment où l'acte constitutionnel de 1982 est accepté par le Premier ministre du Canada Pierre Elliott Trudeau, ainsi que 9 des 10 Premiers ministres provinciaux, à l'insu du premier ministre du Québec René Lévesque. Il n'y a pas eu de signature lors du rapatriement de la Constitution du Canada alors que c'est la signature qui rend l'effet juridique.
La visite de la reine Élisabeth II à Québec et le « samedi de la matraque », en 1964
Par | Le 20/04/2017 | Dans Monarchie | Commentaires (0)
Luc Nicole-Labrie — Le duc et la duchesse de Cambridge (dixit William et Kate) étaient en visite au Canada en 2011. Présents lors des événements soulignant la fête du Canada à Ottawa (rapporté par cyberpresse.ca). Ce voyage constituait un premier voyage officiel à l'étranger pour le jeune couple marié et il était assuré, comme à chaque passage de la royauté au Canada, que des manifestations soient organisées par différentes tendances antimonarchistes, surtout au Québec, pour souligner cet événement. Faut-il rappeler qu'une de ces visites s'est soldée par l'une des manifestations les plus célèbres de la seconde moitié du XXe siècle au Québec.
L'année 1964 marque le quatrième voyage officiel au Canada pour la jeune reine Élisabeth II, alors âgée de 38 ans (fait à noter que l'orthographe anglaise Élizabeth est officiellement utilisée au Canada).
L'immigration massive et illégale met-elle en péril la sécurité des Canadiens
Par | Le 18/04/2017 | Dans Immigration | Commentaires (0)
Depuis quelques semaines, un nombre croissant d'immigrants illégaux, craignant d'être expulsés des États-Unis par l'administration de Donald Trump, s'introduisent au Canada illégalement en évitant les postes frontières officiels. Le premier ministre manitobain, Brian Pallister, a promis de discuter de cette question avec ses homologues des autres provinces afin de préparer une stratégie à long terme. La Customs and Immigration Union, le syndicat des gardes-frontière du Canada, pense que la frontière canadienne est devenue « un vrai gruyère », et il pense qu’il faut renforcer les équipes en raison de la forte hausse du nombre des immigrés illégaux. Actuellement, près de 300 garde-frontières patrouillent à la frontière du pays avec les Etats-Unis, et selon le syndicat, il faudrait porter ce chiffre à près de 1000.
À Ottawa, l'opposition demande au gouvernement Trudeau d'intervenir pour endiguer l'entrée au pays d'immigrants illégaux en provenance des États-Unis. Un phénomène qui prend de l'ampleur, mais qui n'a pas encore convaincu le premier ministre de modifier les règles d'immigration. C'est donc pour régler ce problème que, depuis des semaines, l'opposition demande des actions concrètes d'Ottawa. « Ça fait des semaines que l’opposition officielle n’arrête pas de dire qu’il y a une problématique à notre frontière et tout ce qu’on entend du premier ministre Justin Trudeau, c’est que tout est beau, tout est calme », a indiqué le député conservateur de Richmond-Arthabaska, Alain Rayes.
Le rapatriement de 1982 : trahison et fin d’un mythe, par Gilbert Paquette
Par | Le 18/04/2017 | Dans Constitution | Commentaires (2)
Le 17 avril 1982, il y a 35 ans, entrait en vigueur une Constitution canadienne, amendant le BNA act de 1867, rapatriée de Londres par le Gouvernement canadien sans l’accord du Québec. Cette trahison à l’égard du peuple québécois rompait un engagement solennel de Pierre Elliot Trudeau au référendum de 1980. Dénoncée régulièrement depuis par des résolutions unanimes de tous les partis représentés à l’Assemblée Nationale du Québec, cette acte unilatéral du Canada anglais met fin définitivement au mythe tenace à l’effet que le Canada de 1867 aurait été un « pacte entre deux nations ».
Dans les derniers jours de la campagne référendaire de 1980, le 14 mai 1980 au Centre Paul Sauvé à Montréal, Le premier ministre canadien Pierre-Elliot Trudeau, au nom de ses collègues du Québec au parlement fédéral, est venu dire aux québécois : « Nous voulons du changement, nous mettons nos sièges en jeu pour avoir du changement ». Donc ce « non » au référendum de 1980 allait vouloir dire un « oui » aux changements espérés par les Québécois.
Amnistie internationale réitère son appui pour une enquête provinciale sur le racisme systémique dans la province de Québec !
Par | Le 27/03/2017 | Dans Politique canadienne | Commentaires (0)
Cette déclaration de Amnistie internationale sent le complot à plein nez. Cette organisation victimise sans aucune nuance la communauté musulmane, en faisant abstraction des peurs réelles et justifiées qu'ont les canadiens vis-à-vis le radicalisme islamique, en affirmant que cette seule communauté est victime de discrimination raciale et religieuse.
Amnistie internationale jette l'opprobre plus précisément sur le peuple québécois en écrivant : "De plus, Amnistie internationale réitère son appui à la requête faite pour la création d’une enquête provinciale sur le racisme systémique dans la province de Québec". Les Canadiens et les Québécois sont tout à coup devenus un peuple raciste, pour ne pas dire radical et dangereux, alors qu'ils ont toujours eu la réputation d'être un peuple pacifique et accueillant ! Cette déclaration scandaleuse de Amnistie internationale est sans compter le demi mensonge à l'encontre du président Donald Trump.
Scandale au Canada - Le rapatriement de la Constitution de 1982 était-il un coup d'État?
Par | Le 07/03/2017 | Dans Constitution | Commentaires (0)
Pierre Elliott Trudeau vouait une reconnaissance sans borne à Margaret Thatcher qui a été pour lui une précieuse alliée dans le coup d'État qu'a représenté le rapatriement de la constitution canadienne au début des années 80, écrit l'historien Frédéric Bastien. Coup du hasard, son livre, La Bataille de Londres. Dessous, secrets et coulisses du rapatriement constitutionnel est paru quelques heures après le décès de l'ancienne première ministre britannique.
Pour celui qui a consacré huit ans de sa vie à des demandes d'accès à l'information auprès d'Ottawa et de Londres et qui a fouillé maintes archives, aucun doute possible: ce rapatriement de la constitution canadienne a été un coup d'État rendu possible par deux juges de la Cour suprême, Willard Estey et Bora Laskin. Le premier, écrit Bastien, a secrètement avisé les Britanniques, à l'automne 1980, que la Cour suprême se saisirait certainement de la question constitutionnelle. Le second, Laskin, est intervenu à maintes reprises dans le processus politique pour inciter le gouvernement à saisir la Cour suprême du dossier constitutionnel. Ensuite, il a informé les instances politiques des tractations entre juges.