Politique québécoise
Les libéraux refusent de hisser le drapeau des Patriotes de 1837 au parlement
Par | Le 12/05/2017 | Dans Politique québécoise | Commentaires (0)
Les libéraux ont refusé jeudi qu'on hisse le drapeau des Patriotes à un des mâts du parlement lors de la Journée nationale des Patriotes, le 22 mai. Ceci est déplorable alors que le même gouvernement n'a pas hésité à honorer le drapeau de la République islamique du Pakistan qui a flotté sur la tour numéro 5 de l’hôtel du Parlement à l’occasion de la visite du consul général du Pakistan, M. Muhammad Aamer, pour sa prise de poste.
Comment un gouvernement peut-il accepter que la politique de pavoisement soit mise en oeuvre pour un pays qui ne fait pas respecter les droits de l’homme et de la femme sur son territoire, alors que ces mêmes protocoles ne sont pas respectés pour honorer nos ancêtres ?!
La population québécoise est victime d'un racisme systémique promu par les lobbies
Par | Le 09/05/2017 | Dans Conspiration | Commentaires (0)
Il y a un mystère qui devra bientôt et rapidement être résolu. Tente-t-on dans les hautes instances gouvernementales de nous dissimuler un plan machiavélique visant à détruire l'identité québécoise, contribuant ainsi à la disparition et à l'extinction de notre nation francophone ?
Depuis le mois de mars, à trois reprises, une institution ou un organisme relevant de l’État a retiré le fleurdelisé pour une raison de gestion comptable. On se souvient du tollé provoqué par l’annonce de la SAQ, alors que la Société d’État avait décidé de retirer le drapeau de la devanture de ses succursales car l’entretien coûtait, soutenait-elle à l’époque, trop cher.
(Depuis, la SAQ s’est engagée à continuer de déployer le fleurdelisé sur ses magasins. "La SAQ comprend la sensibilité des Québécois à cet égard et l’importance qu’ils accordent à ce que le drapeau soit bien visible sur les magasins de leur société d’État.").
À peine quelques semaines plus tard, un citoyen avait remarqué que le drapeau du Québec brillait par son absence au premier endroit où l’on s’attend de le voir flotter : au sommet de la tour centrale de l’Assemblée nationale. Cette fois-ci, le mécanisme du mât était brisé et le gouvernement n’a pas jugé bon de le réparer de manière diligente. Le 6 mai dernier, le Musée national des beaux-arts du Québec annonçait à son tour que le fleurdelisé ne flottera désormais plus au sommet de son pavillon principal pour des raisons semblables.
Retrait du fleurdelisé au sommet du Musée national des beaux-arts du Québec
Par | Le 06/05/2017 | Dans Politique québécoise | Commentaires (0)
[Communiqué] Le 6 mai 2017 – Quand la fierté baisse pavillon. Suite à l’annonce du Musée national des beaux-arts du Québec à l’effet que le fleurdelisé ne flottera désormais plus au sommet de son pavillon principal, le Mouvement national des Québécoises et Québécois (MNQ) lance un appel à l’État à montrer l’exemple en matière de déploiement du drapeau québécois pour réaffirmer sa fierté envers nos symboles nationaux.
Nos politiciens québécois devront-ils faire des excuses auprès de Marine Le Pen ?
Par | Le 25/04/2017 | Dans Politique internationale | Commentaires (0)
À moins de 15 jours du 2e tour à l'élection présidentielle en France durant lequel Marine Le Pen pourrait bien devenir la Présidente de la République française, il est temps de faire le bilan sur l'accueil déplorable que lui réserva en 2016 la caste politique lors de son voyage en sol québécois et canadien.
En mars 2016, en visite au Québec, les principaux partis politiques la boudèrent avec mépris. Alors que Marine Le Pen passait la semaine au Canada, dans le cadre de la visite de la Commission du commerce international du Parlement européen dont elle est membre, la majorité des politiciens québécois refusèrent de la rencontrer : Philippe Couillard, François Legault, Pierre Karl Péladeau.
Le député péquiste Bernard Drainville eut l'outrecuidance de dire : « Elle devrait débarquer de l'avion et rembarquer illico, retourner chez elle ». Bien qu'il admette que ses idéologies soient opposées aux siennes, Amir Khadir s'est dit prêt pour sa part à s'asseoir avec la présidente du Front national, ajoutant : « Comprenez-moi bien, c'est par humanisme que je me suis offert » (SIC!).
Hymne au Québec, interprété par le ténor Richard Verreau. Les paroles sont de Guy Dupuis et la musique de Oscar OʼBrien
Par | Le 21/04/2017 | Dans Politique québécoise | Commentaires (1)
Message de Marie-Hélène Morot-Sir — Je me permets de rappeler à votre souvenir que déjà au mois d’août 2010, Monsieur Gilles Bousquet avait suggéré lors d’un de ses articles intitulé "Pour un hymne national" le chant très enlevé, très stimulant, chanté, par Richard Verreau "Terre française d’Amérique", ainsi que les paroles de Guy Dupuis (musique de Oscar OʼBrien). Tous ces chants peuvent sans doute permettre de peser le pour, le contre et de voir celui qui est le plus stimulant, ou celui qui peut amener le plus large consensus.
L'immigration massive et illégale met-elle en péril la sécurité des Canadiens
Par | Le 18/04/2017 | Dans Immigration | Commentaires (0)
Depuis quelques semaines, un nombre croissant d'immigrants illégaux, craignant d'être expulsés des États-Unis par l'administration de Donald Trump, s'introduisent au Canada illégalement en évitant les postes frontières officiels. Le premier ministre manitobain, Brian Pallister, a promis de discuter de cette question avec ses homologues des autres provinces afin de préparer une stratégie à long terme. La Customs and Immigration Union, le syndicat des gardes-frontière du Canada, pense que la frontière canadienne est devenue « un vrai gruyère », et il pense qu’il faut renforcer les équipes en raison de la forte hausse du nombre des immigrés illégaux. Actuellement, près de 300 garde-frontières patrouillent à la frontière du pays avec les Etats-Unis, et selon le syndicat, il faudrait porter ce chiffre à près de 1000.
À Ottawa, l'opposition demande au gouvernement Trudeau d'intervenir pour endiguer l'entrée au pays d'immigrants illégaux en provenance des États-Unis. Un phénomène qui prend de l'ampleur, mais qui n'a pas encore convaincu le premier ministre de modifier les règles d'immigration. C'est donc pour régler ce problème que, depuis des semaines, l'opposition demande des actions concrètes d'Ottawa. « Ça fait des semaines que l’opposition officielle n’arrête pas de dire qu’il y a une problématique à notre frontière et tout ce qu’on entend du premier ministre Justin Trudeau, c’est que tout est beau, tout est calme », a indiqué le député conservateur de Richmond-Arthabaska, Alain Rayes.
Le rapatriement de 1982 : trahison et fin d’un mythe, par Gilbert Paquette
Par | Le 18/04/2017 | Dans Constitution | Commentaires (2)
Le 17 avril 1982, il y a 35 ans, entrait en vigueur une Constitution canadienne, amendant le BNA act de 1867, rapatriée de Londres par le Gouvernement canadien sans l’accord du Québec. Cette trahison à l’égard du peuple québécois rompait un engagement solennel de Pierre Elliot Trudeau au référendum de 1980. Dénoncée régulièrement depuis par des résolutions unanimes de tous les partis représentés à l’Assemblée Nationale du Québec, cette acte unilatéral du Canada anglais met fin définitivement au mythe tenace à l’effet que le Canada de 1867 aurait été un « pacte entre deux nations ».
Dans les derniers jours de la campagne référendaire de 1980, le 14 mai 1980 au Centre Paul Sauvé à Montréal, Le premier ministre canadien Pierre-Elliot Trudeau, au nom de ses collègues du Québec au parlement fédéral, est venu dire aux québécois : « Nous voulons du changement, nous mettons nos sièges en jeu pour avoir du changement ». Donc ce « non » au référendum de 1980 allait vouloir dire un « oui » aux changements espérés par les Québécois.
Le drapeau de la République islamique du Pakistan a flotté à l’Assemblée nationale alors qu'elle est dénudée de son fleurdelisé
Par | Le 13/04/2017 | Dans Politique québécoise | Commentaires (0)
Le Mouvement national des Québécoises et Québécois (MNQ) déplore que la tour centrale de l’Assemblée nationale soit dénudée du drapeau québécois depuis le 5 février dernier, comme nous l’apprend l’article du Soleil paru le 12 avril dernier. Il nous apparaît inacceptable que le fleurdelisé ne flotte pas en cet endroit hautement symbolique, soit au cœur de l’État québécois, pour une si longue période de temps. En foi de quoi, le MNQ exhorte les autorités en place à rectifier la situation dans les plus brefs délais.
De son côté, l’Assemblée rapporte que le mécanisme permettant de hisser le fleurdelisé serait brisé et qu’en raison des travaux de construction du pavillon d’accueil, il serait impossible de pouvoir réparer ledit mât avant l’été 2017. En attendant, on a placé le drapeau sur une autre tour de l’Assemblée.