Le New York Times fait la promotion d'un coup d'Etat antifa-communiste contre Trump le 4 novembre prochain
Par | Le 03/11/2017 | Commentaires (0)
Il y a une nouvelle guerre civile qui se prépare aux États-Unis, alimentée par la gauche politique radicale et son groupe de copains crétins.
Tout cela a sérieusement commencé lorsque Donald Trump a complètement anéanti Hillary Clinton lors de l'élection présidentielle de 2016. Cette fausse révolution a pris de l'ampleur à travers le thème général de la « résistance », impatriotiquement brandie par les grands médias et Hollywood. Grâce à une vile propagande comme la vidéo de rap de de Snoop Dogg représentant l'assassinat de Trump et l'horrible décapitation de Kathy Griffin et CNN, les Américains qui se retrouvent alignés avec les démocrates se retrouvent de plus en plus enclins à la violence au fil des jours.
Un groupe appelé ironiquement « Antifa », qui a travaillé dur non seulement à tourmenter les conservateurs américains, mais aussi à lutter pour limiter la liberté d'expression dans le pays, illustre cette rhétorique ridicule. Maintenant, ces voyous du Black Block transmettent leur message aux masses à travers le New York Times et une publicité pleine page demandant à la nation de se soulever et de se révolter.
En effet, le New York Times a publié une publicité pleine page appelant à une révolution pour renverser le président Trump le 4 novembre prochain. La publicité, qui apparaît au début de l'édition nationale du journal, exige des protestations à l'échelle nationale qui ne cesseront pas jusqu'à ce que l'administration Trump soit chassée du pouvoir.
« Rejoignez les milliers de personnes qui se rassembleront dans les villes et villages du pays », lit-on dans la publicité. « Un mouvement de protestation qui se poursuit chaque jour et chaque nuit, jusqu'à ce que nous devenions des millions ... déterminés maintenant à arrêter jusqu'à ce que ce régime soit chassé du pouvoir ».
L'annonce a été écrite par Refuse Fascism, un groupe communiste financé par George Soros qui a pris la responsabilité de fermer un événement conservateur accueillant le journaliste Milo Yiannopoulos à l'Université de Berkeley en février.
Une tentative de coup d'État le 4 novembre prochain aux États-Unis
Ce que Antifa pense qu'il se produira le 4 novembre demeure encore assez vague, probablement délibérément. Le groupe souhaiterait un déni plausible en cas de violence coupable, mais le groupe terroriste aura aussi besoin d'une assurance contre la probabilité que l'ensemble de son programme équivaille à un “nothing burger” (rien de burger).
En ne permettant pas au monde de comprendre ce qu'ils recherchent exactement, toute action quelle qu'elle soit pourrait être considérée comme un succès pour Antifa. Le caprice de la publicité n'est rien de plus qu'une mise en scène contre leur propre lâcheté, ce qu'ils font toujours de mieux : pontifier et gémir derrière leur "espace de sécurité" (safe zone), c'est-à-dire derrière leurs écrans d'ordinateurs.
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RÉFÉRENCES :
- Constitution.com : http://constitution.com/antifa.
- The New American : www.thenewamerican.com/usnews/crime/antifa.
- Sandra Rose : www.sandrarose.com/antifa-buys-full-page-ny-times.
- Info Wars : www.infowars.com/full-page-ny-times.
- Daily Caller : www.dailycaller.com/look-who-funds-the-group.
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