Monarchie
Monseigneur le comte de Paris: Nous sommes en guerre. Vous ne pouvez pas l’ignorer
Par | Le 24/04/2018 | Commentaires (0)
[Monseigneur le comte de Paris, de jure Henri VII de France] — Depuis presque quarante ans la France subit une invasion rampante sous couvert de regroupement familial ou de « droit au sol » . Actuellement le mondialisme exige de nos démocraties, devenues par ce fait dictatoriales, que nous acceptions le grand remplacement. Ainsi l’invasion devient une réalité extrêmement dangereuse, mortifère pour la France, mais également pour l’Europe.
Pour tenter de comprendre comment nous sommes parvenus à ce stade, il est nécessaire d’avoir une vue stratégique globale des tensions et des appétits des puissants de ce monde. De même il est intéressant de prendre conscience que l’économie mondiale a construit sa force sur les énergies fossiles: le charbon et le pétrole. Quant à l’énergie atomique elle n’en est, peut-être, qu’à ses débuts.
Le discours secret datant de 1983, écrit par la reine Elizabeth II en cas de guerre nucléaire, fut révélé en 2013
Par | Le 11/04/2018 | Commentaires (0)
Le discours secret datant de 1983, écrit par la reine Elizabeth II en cas de guerre nucléaire, fut révélé en 2013. Le texte déclassé appelle la famille, Dieu et le patriotisme contre la « folie de la guerre ».
En effet, la Reine écrivit un discours en 1983 au plus fort de la guerre froide et alors que le monde se préparait à la perspective d'une nouvelle guerre froide ou même d'une troisième guerre mondiale. Ce discours est toujours incroyablement prescient. Après l'empoisonnement de Sergei Skripal à Salisbury, le Royaume-Uni a pointé du doigt la Russie pour avoir organisé un "coup" sur le sol britannique et les gens commencent à parler d'une nouvelle guerre froide. La Reine avait préparé un discours au cas où un tel événement terrible se produirait. Il a pu être écrit il y a près de quarante ans et est de son temps, mais il est toujours pertinent aujourd'hui.
La ronde des souverainistes - Serment d'allégeance des péquistes porté envers la couronne d'Angleterre
Par | Le 30/03/2018 | Commentaires (0)
Source : Indigo Sun — Assemblée Nationale du Québec - Haute Trahison perpétrée contre le peuple par les Péquistes soi-disant souverainistes.
Ne vous demandez plus chers indépendantistes convaincus de votre cause, pourquoi vous n'avez toujours pas de pays 39 ans plus tard malgré tous les efforts déployés, les espoirs entretenus, les larmes versées par déception et par dépit, et les centaines de millions dépensés inutilement.
Le serment d'allégeance d'un serviteur de l'État est un geste politique sérieux pouvant avoir des conséquences très graves pour celui qui le trahi. Au Canada la peine pour haute trahison est de 10 ans d'emprisonnement.
Le mythe est le Canada : l’Acte de l’Amérique du Nord britannique de 1867 n'est pas une Constitution car il ne constitue rien
Par | Le 02/03/2018 | Commentaires (0)
Nephalem Films : Pour comprendre où nous sommes, nous devons d'abord comprendre comment nous sommes arrivés ici... Des recherches approfondies ont mis au jour des événements clés, qui ont à la fois créé et caché la vérité du mythe qu'est le Canada.
Événement : Du 17e siècle au siècle suivant, l'Angleterre et la France étaient des partenaires tendus représentant le Haut-Canada et le Bas-Canada. La mort du général Wolfe dans la bataille finale sur les plaines d'Abraham en 1759, a assuré la victoire de l'Angleterre, le prix finalement connu sous le nom de « Canada ». Le Traité de Paris a fusionné le Haut-Canada anciennement contrôlé par les Britanniques avec le Bas-Canada français en une entité juridique française - une Corporation Sole, la « province de Québec ». Le processus de fusion de 1759 à 1763 a placé le premier gouverneur général britannique au sein de cette corporation unique qui, en 1787, a fusionné tout le « Canada » permettant à la Grande-Bretagne de gouverner ses colonies connues sous le nom de « province du Canada ». Nouveau-Brunswick et Nouvelle-Écosse.
Pendant 80 ans, de 1787 à 1867, les Britanniques ont placé de nombreux gouverneurs généraux dans la Corporation Sole. Émettant des lettres patentes, la monarchie britannique proclama ainsi que les gouverneurs généraux détenaient le « pouvoir » de créer et de contrôler le gouvernement du Canada, en tant que colonie britannique.
« Carrément Brunet » sur RMC : « Et si on essayait la monarchie parlementaire pour rassembler le pays? »
Par | Le 24/11/2017 | Commentaires (0)
Dans son émission « Carrément Brunet », diffusée sur RMC lundi 20 novembre, le journaliste Eric Brunet évoque la question d’un éventuel retour de la monarchie parlementaire en France, dans une émission intitulée : « Et si on essayait la monarchie parlementaire pour rassembler le pays? ».
Durant cette émission, Eric Brunet expose les avantages d’une monarchie parlementaire, ses inconvénients, ainsi que le comportement monarchique des présidents de la République. La France conserverait une tradition monarchique indéniable mais souffrirait du syndrome de Louis XVI. Un sondage « Brunetmétrie » a été mis en ligne lors de l’émission, mais la faiblesse des votes ne peut être considéré comme véritablement représentatif. Durant cette émission, un extrait d’une récente intervention de S. A. R. le prince Jean de France fût diffusée, l’Alliance royale fut interviewée, la Nouvelle action royaliste citée, et l’Action Française évoquée.
La Première ministre britannique s'est rendue chez la reine Elizabeth II pour lui annoncer la dissolution du parlement
Par | Le 04/05/2017 | Dans Monarchie | Commentaires (0)
La Première ministre britannique Theresa May s'est rendue mercredi après-midi chez la reine Elizabeth II, au palais de Buckingham, pour l'informer de la dissolution du Parlement, qui sera renouvelé lors des législatives qu'elle a convoquées le 8 juin.
La Première britannique a souhaité organiser le vote anticipé dans un souci de stabilité et d'unité en vue des deux années de négociations à venir sur le Brexit. Le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, a d’ailleurs considéré en avril que « les réelles négociations politiques sur l’article 50 avec le Royaume-Uni débuter[aie]nt après les élections prévues pour le 8 juin ».
La session parlementaire s'est officiellement close mardi soir minuit mais les 650 députés sortants ont en fait été mis en congé dès la fin de la semaine dernière.
La nouvelle assemblée, issue du scrutin du 8 juin, se réunira le 13 juin pour élire son président. La session parlementaire n'ouvrira que le 19 juin avec la cérémonie fastueuse du "Discours de la reine", au cours de laquelle Elizabeth II lira le programme du nouveau gouvernement issu des élections.
Discours de la Reine Elizabeth II lors du centenaire des 72 résolutions du 10 octobre 1864, Fondement de la Confédération
Par | Le 21/04/2017 | Dans Biographie | Commentaires (1)
La reine Elizabeth II fête aujourd'hui ses 91 ans. Comme tous les ans, l'anniversaire de Sa Majesté a été salué par 41 salves de coups de canon à Hyde Park et 62 à la Tour de Londres. Née le 21 avril 1926, la reine a l'habitude de fêter son anniversaire en deux temps: en privé le jour J, puis lors d'une cérémonie officielle au mois de juin, selon une tradition séculaire destinée à échapper aux caprices de la météo.
Si Elizabeth II se fait un peu plus rare, il n'est pas question pour elle d'abandonner sa charge, s'accordent l'ensemble des spécialistes royaux. Fidèle à son « serment du Cap », proféré à l'occasion de son 21e anniversaire, elle consacrera sa vie, « qu'elle soit longue ou brève », au service de ses sujets. Cette endurance contribue à sa popularité aujourd'hui au zénith. La souveraine, qui a toujours pris soin de se tenir éloignée des affaires politiques, s'affirme même comme l'un des derniers facteurs de cohésion dans un Royaume-Uni miné par les régionalismes et profondément divisé depuis le vote pour le Brexit.
À l'occasion de l'anniversaire de la reine Elizabeth II, nous reproduisons le discours qu'elle prononça à l'Hotel du Parlement le 10 octobre 1964. Le seul discours de la monarchie qui mérite d’être reconnu au Québec. Mais ils l’ont bloqué au Canada, selon Réal Brabant.
La visite de la reine Élisabeth II à Québec et le « samedi de la matraque », en 1964
Par | Le 20/04/2017 | Dans Monarchie | Commentaires (0)
Luc Nicole-Labrie — Le duc et la duchesse de Cambridge (dixit William et Kate) étaient en visite au Canada en 2011. Présents lors des événements soulignant la fête du Canada à Ottawa (rapporté par cyberpresse.ca). Ce voyage constituait un premier voyage officiel à l'étranger pour le jeune couple marié et il était assuré, comme à chaque passage de la royauté au Canada, que des manifestations soient organisées par différentes tendances antimonarchistes, surtout au Québec, pour souligner cet événement. Faut-il rappeler qu'une de ces visites s'est soldée par l'une des manifestations les plus célèbres de la seconde moitié du XXe siècle au Québec.
L'année 1964 marque le quatrième voyage officiel au Canada pour la jeune reine Élisabeth II, alors âgée de 38 ans (fait à noter que l'orthographe anglaise Élizabeth est officiellement utilisée au Canada).