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Le discours secret datant de 1983, écrit par la reine Elizabeth II en cas de guerre nucléaire, fut révélé en 2013
Par | Le 11/04/2018 | Commentaires (0)
Le discours secret datant de 1983, écrit par la reine Elizabeth II en cas de guerre nucléaire, fut révélé en 2013. Le texte déclassé appelle la famille, Dieu et le patriotisme contre la « folie de la guerre ».
En effet, la Reine écrivit un discours en 1983 au plus fort de la guerre froide et alors que le monde se préparait à la perspective d'une nouvelle guerre froide ou même d'une troisième guerre mondiale. Ce discours est toujours incroyablement prescient. Après l'empoisonnement de Sergei Skripal à Salisbury, le Royaume-Uni a pointé du doigt la Russie pour avoir organisé un "coup" sur le sol britannique et les gens commencent à parler d'une nouvelle guerre froide. La Reine avait préparé un discours au cas où un tel événement terrible se produirait. Il a pu être écrit il y a près de quarante ans et est de son temps, mais il est toujours pertinent aujourd'hui.
Le monde se demande : “l’Amérique est-elle devenue insensée ?”
Par | Le 11/04/2018 | Commentaires (0)
[Benjamin Fulford] — Les dirigeants actuels du monde anglo-saxon agissent d'une manière que l'on ne peut qualifier que d'insensée, en émettant des revendications manifestement fausses et incendiaires, l’une après l'autre, dans une vaine tentative de déclencher la Troisième Guerre Mondiale. Ils le font parce que les dirigeants actuels se battent littéralement pour survivre au fur et à mesure que les rouages de la justice se resserrent inévitablement sur eux.
C'est pourquoi nous avons récemment vu des affirmations hystériques de la Première Ministre du Royaume-Uni, Theresa May, selon lesquelles la Russie aurait utilisé du gaz toxique à l'intérieur du Royaume-Uni, et qui ont été démenties par les experts de son propre gouvernement. C'est aussi la raison pour laquelle le Président des États-Unis, Donald Trump, a été forcé sous le chantage, ou a été trompé comme un idiot, à accuser faussement le gouvernement Syrien d'attaquer une fois de plus ses propres civils avec des armes chimiques.
Le Canada tire sur sa population — Le 1er avril 1918 — Émeute à Québec contre la conscription : résistance politique ou culturelle ?
Par | Le 09/04/2018 | Commentaires (0)
L'émeute de Québec de 1918 s'est déroulée à Québec (Canada) dans le contexte de la crise de la conscription. Dès le début de la Première Guerre mondiale, la population du Québec est inquiète, car elle craint que le gouvernement fédéral finisse par imposer la conscription quand il n'y aura plus de volontaires. En 1915, Ottawa commence d'ailleurs une campagne discrète afin de rendre la conscription sympathique aux Québécois, car le recrutement de volontaires commence à s'essouffler.
En 1916 au Québec, les premières échauffourées ont lieu entre les recruteurs et la population à Québec. Celle-ci accuse le gouvernement d'angliciser l'armée et de favoriser les officiers canadiens-anglais. Au printemps 1917, lors de la conférence impériale de Londres, le Premier ministre Borden subit de lourdes pressions des Britanniques pour imposer la conscription. Le 29 mai, il dépose à la Chambre des communes du Canada le projet de loi, qui est approuvé le 24 juillet par 102 voix contre 44.
Aux États-Unis, la souveraineté est exercée par le gouvernement fédéral et par chacun des cinquante gouvernements d'État
Par | Le 07/04/2018 | Commentaires (0)
Les États-Unis sont une république fédérale composée de cinquante États fédérés auxquels s'ajoutent le district de Columbia — comprenant la capitale Washington — et plusieurs territoires.
Aux États-Unis, la souveraineté est exercée à la fois par le gouvernement fédéral et par chacun des cinquante gouvernements d'État. Un Américain est à la fois citoyen des États-Unis et citoyen de l'État où il est domicilié. En revanche, la citoyenneté d'État est une chose assez flexible et aucune procédure légale n'est nécessaire, sauf rares exceptions, pour changer son domicile d'un État à un autre. Les Américains ont conscience d'appartenir à une même nation, malgré la diversité des régions.
La ronde des souverainistes - Serment d'allégeance des péquistes porté envers la couronne d'Angleterre
Par | Le 30/03/2018 | Commentaires (0)
Source : Indigo Sun — Assemblée Nationale du Québec - Haute Trahison perpétrée contre le peuple par les Péquistes soi-disant souverainistes.
Ne vous demandez plus chers indépendantistes convaincus de votre cause, pourquoi vous n'avez toujours pas de pays 39 ans plus tard malgré tous les efforts déployés, les espoirs entretenus, les larmes versées par déception et par dépit, et les centaines de millions dépensés inutilement.
Le serment d'allégeance d'un serviteur de l'État est un geste politique sérieux pouvant avoir des conséquences très graves pour celui qui le trahi. Au Canada la peine pour haute trahison est de 10 ans d'emprisonnement.
La liberté de la presse et la liberté d'expression sont en chute libre au Canada depuis l'élection de Justin Trudeau en 2015
Par | Le 29/03/2018 | Commentaires (0)
Le Premier ministre Justin Trudeau se présente comme un farouche défenseur d’une « presse libre ». Pourtant, au cours de l’année écoulée, cet engagement est resté lettre morte. Au Canada, malgré la Constitution de 1982 qui garantit la liberté de la presse, la situation des journalistes atteste dans les faits d’une réalité très différente. Par exemple, plusieurs professionnels des médias ont été placés sous surveillance policière au Québec dans le cadre d’une enquête sur d’autres policiers. Un journaliste de Vice a pour sa part dû faire appel d’une décision de justice l’obligeant à remettre à la gendarmerie royale l’intégralité de ses communications avec une de ses sources. Un autre, travaillant lui pour TheIndependent.ca, encourt 10 ans de prison pour avoir couvert des manifestations dénonçant un projet hydroélectrique. Les journalistes de ce pays ne sont protégés par aucune « loi bouclier » (shield law). De plus, sous couvert de sécurité nationale, certaines législations, telles que le controversé projet de loi anti-terroriste C-51, se révèlent nuisibles à la liberté d’expression sur Internet.
Le Mouvement républicain du Québec joint ses efforts au parti politique Stram Kurs fondé par Rasmus Paludan, au Danemark
Par | Le 22/03/2018 | Commentaires (0)
Nous sommes très heureux de vous annoncer que le Mouvement républicain du Québec joint désormais ses efforts au parti politique Stram Kurs, fondé par Rasmus Paludan, au Danemark. Stram Kurs est un parti nouvellement fondé par l'avocat Rasmus Paludan en Juillet 2017. Le parti veut un meilleur contrôle des réfugiés au Danemark, et il pointera toutes les personnes non occidentales du Danemark, à moins qu'ils soient des réfugiés de l'un des voisins du Danemark. Stram Kurs a publié un court programme politique qui traite uniquement de sa politique étrangère.
Le parti a l'intention de se s'installer au parlement. À cette fin, les membres ont commencé peu après la fondation du parti à recueillir les quelque 20 000 signatures électorales requises. Début 2017, Rasmus Paludan a lancé une chaîne Youtube appelée « Freedom Voice », sur laquelle il met en ligne de courts clips vidéo de lui-même qui tente de provoquer des activistes de gauche, ainsi que des interviews de politiciens de renom. Paludan était auparavant membre de New Citizenship, où il figurait sur la liste des candidats du KV17.
Les Libéraux de Justin Trudeau, le NPD et le Bloc Québécois refusent de condamner et poursuivre les djihadistes de retour au Canada
Par | Le 20/03/2018 | Commentaires (0)
[Le Peuple, 5 décembre 2017] — Depuis le mois de novembre 2017, les Libéraux de Justin Trudeau sont critiqués par les Conservateurs d'Andrew Scheer, car ils souhaitent « réintégrer » à la société les djihadistes de retour au Canada, et ce, même si le ministre de la Sécurité publique, Ralph Goodale, reconnaît que les chances de succès sont minces. En ce sens, le député conservateur Pierre Paul-Hus a déposé la motion ci-dessous à la Chambre des communes, le 4 décembre dernier.
La motion fut rejetée avec 209 votes contre et 79 pour. Notamment, les Libéraux de Justin Trudeau ont refusé de l'appuyer, ainsi que le NPD et le Bloc Québécois. Définitivement, la « révolution » ne passera pas par les partis !